Un récit qui remonte à une dizaine d'années. Nous avions 42 ans pour ma femme et deux de plus pour moi.
Nous avons toujours fait beaucoup l'amour depuis notre mariage. J'ai passé quasiment les vingt premières années de celui ci à faire accepter à Madame de se dévergonder.
Nous en étions donc à cette époque à nos premières rencontres candaulistes
Nous avions notre dernière fille encore à la maison et nous ne pouvions recevoir. Ce qui n'est plus le cas depuis maintenant quatre ans et nous nous rattrapons.
J'avais pris contact avec un homme dans la quarantaine, professeur de fac à Lyon. Appelons le Simon (pseudo pour ce récit).
Il proposait de nous recevoir ou de louer une très belle chambre d'hotel. Il s'avoua légèrement dominateur mais pas du tout attiré par des pratiques violentes .
J'en parlais à Madame dont, je sais qu'elle aime assez être dirigée. Elle opta pour l'hotel.
Nous sommes assez cérébral, et une partie de notre plaisir vient de la situation, en plus du plaisir physique.
Avec l'expérience, nous apprendrons qu'en ce qui nous concerne il faut varier les situations, sinon cela deviendrait vite monotone.
Je contactais à nouveau Simon, lui fit part de notre choix. Nous affinons ensemble une trame de la rencontre. Nous sommes conscients que Madame est libre de tout arrêter à tout moment.
Nous choisissons une date, un samedi après midi. J'informerai Madame que dans la matinée de la rencontre.
Arrive le samedi convenu. Comme bien souvent le matin, nous faisons l'amour. Puis l'air de rien dans des moments de tendresse après l'amour, je glisse à Madame, nous avons rdv à 14 h avec Simon.
Je sens, un peu d'angoisse et d'excitation.
La matinée, se passe. Le choix de la date n'est pas innocent. Notre fille doit partir toute l'après midi, jusqu'en début de soirée . En effet ma femme habituée au jean dans la vie quotidienne, mais adepte de tenues plus classes et sexy pour aller en rdv ou en soirée. Quelle surprise serait pour notre fille de voir sa mère sortir ainsi pour faire du shopping.
Je peux donc informer tranquillement, Madame, que Simon souhaite qu'elle soit bcbg, jupe, corsage, avec des dessous noirs, des bas dim up chair.
Elle se pomponne et apparaît donc vêtue, d'une jupe légèrement au dessus des genoux, grise, d'un corsage blanc,d'une petite veste rose, destinée à masquer le soutien gorge noir sous le corsage, culotte tanga noir et bas chair. Escarpin. Le tout avec un imperméable camel.
Nous avons rdv dans le bar, d'un grand hotel avec vision sur le rhone à deux pas de la place bellecour et à dix minutes de chez nous.