C’est la fin de l’année et il va repartir dans son pays.
Avec ma femme Claire, nous nous demandons ce que nous pouvons lui offrir comme cadeau pour qu’il garde un bon souvenir de son séjour, et avons décidé de l’inviter à dîner chez nous, pour son dernier soir en France, quelques jours plus tard. Ne trouvant décidément pas d’idée de cadeau, il me vient une idée folle, et je te dis que son plus beau cadeau souvenir serait que tu fasses l’amour avec lui, il doit rêver de connaître la femme blanche, une jolie blonde, en plus, quelle aubaine ! Tu me réponds que je suis fou, qu’il n’en est pas question. Nous n’y revenons pas.
Claire est petite et très bien faite, très mince avec la taille fine, des petites fesses rondes et de jolis petits seins qui tiennent bien. Elle a des cheveux blonds mi-longs, très épais, de grands yeux verts, une jolie bouche aux lèvres fines et bien dessinées, avec un joli visage en forme de cœur.
Puis arrive le jour de l’invitation. Le midi quand je rentre déjeuner, tu me dis que tu as réfléchi et que finalement, l’idée a fait son chemin et sans y adhérer vraiment, tu te poses la question mais tu as encore des réticences. Tu as peur que je t’en veuille après, que je considère que tu m’aurais trompé. Je te réponds que non, pas du tout, puisque je te l’ai proposé, en plus j’aimerais participer et en quelque sorte, te partager, pas te « donner », et je serai là.
Tu arrives pour accueillir notre invité, tes cheveux blonds bien lisses et lourds, avec un serre-tête en velours noir, tu es allée chez le coiffeur, je le note tout de suite. Tu portes une jupe rouge, bien au dessus du genou, pas de collants. Tu as mis un chemisier noir et (hélas, mais je m’en doutais) un soutien gorge, noir aussi, mais il est pigeonnant et contrairement à ton habitude, tu as déboutonné ton chemiser afin que d’un regard indiscret on puisse deviner le galbe parfait de la naissance de tes seins. Tu as un joli maquillage léger, tes lèvres sont assorties à tes longs ongles, un carmin, ravissant, j’aime beaucoup. Avec des chaussures vernies à talon, je te trouve très désirable…
Tu es assise sur le foot stool, notre invité est en face de toi, sur le canapé. Ta position en contrebas a fait remonter ta jupe, laissant apparaître tes jolies cuisses et notre ami, depuis son poste d’observation plus élevé, dispose aussi d’une vue plongeante sur ton décolleté. Il te dévore des yeux, il n’en perd pas une miette, je vois que tu lui plais et assurément tu le sens aussi, tes regards appuyés l’encouragent à poursuivre dans cette voie.
Je me place à côté de lui :
- Trinquons à cette belle année qui se termine ! Bientôt de retour à la maison, tu dois être content de revenir au pays
- C’est vrai, je suis content, en même temps je regretterai le temps passé ici.
- Avec Claire, nous avons souhaité te faire un cadeau pour que tu conserves le meilleur souvenir de ton séjour, n’est-ce pas ma Claire ?
Tu rougis un peu et souris sans rien dire.
- Viens t’asseoir avec nous, Claire, tu seras mieux sur le canapé, viens te mettre entre nous. Guy, fais lui une petite place s’il te plaît.
Tu te cales dans le canapé, je suis à ta droite et Guy, à ta gauche. Je pose ma main sur ta cuisse et remonte un peu.
- Guy, qu’aimerais-tu comme cadeau, c’est une surprise mais je te laisse deviner ?
- Je ne sais pas, vraiment pas.
- Alors, ferme les yeux et attends, on va le chercher, tu vas voir.
Je te dis à l’oreille, sans qu’il puisse entendre : « embrasse le ». Alors tu te tournes vers lui, mets ton bras autour de son cou et tu commences à embrasser doucement ses grosses lèvres. Surpris, Guy ouvre les yeux et d’abord ne sait pas quoi faire de ses bras, emprunté et intimidé.
- Vas-y, embrasse là ! Tu te souviens de notre conversation ? Si tu veux, ce soir, tu vas pouvoir faire l’amour avec une femme blanche comme tu le souhaitais, le seul problème c’est que nous serons deux à le faire, je suis le mari, quand même, j’espère que tu acceptes de partager ton cadeau ?
Pour toute réponse, il t’enlace tendrement et t’embrasse avec fougue, sa langue venant profondément chercher la tienne. Son pantalon forme déjà une bosse proéminente, ta main va la caresser délicatement, je sens de mon côté aussi poindre une érection vigoureuse. Puis ta main, alors qu’il t’embrasse encore, - ce n’est pas possible, vous êtes en apnée et cherchez à battre un record !-, tu dégrafes son pantalon et sa braguette, tu pars à la recherche de son braquemard qui apparaît alors dans ta main, dressé, énorme, épais et assez long. Il est un peu plus long et plus large que le mien, mais pas beaucoup plus, entièrement noir y compris le gland, avec une grosse veine sur le dessus. Coup de chance, il est circoncis, lui aussi. Bon, contrairement à la réputation des noirs, si son engin est d’une taille respectable, il n’est pas monstrueux, ce n’est pas un pieux, tant mieux. Il n’a quasiment pas de poils, juste quelques petits réseaux crépus que l’on devine sur le bas ventre, rien sur les couilles, tu ne seras pas gênée par les poils, pour une fois. On devine ses abdominaux en plaque de chocolat (noir, le meilleur !), par sa chemise ouverte. Ta main commence à glisser le long de ce membre viril qui perle déjà. Le mouvement de bas en haut de ta main lui donne rapidement sa forme légèrement incurvée vers le haut, à l’inverse de moi. Je pense alors qu’il te fera une sensation différente, tu devrais aimer, c’est sûr.
Tu te penches alors sur lui et tes lèvres fines, rouges et délicates commencent par embrasser le gland sur lequel tu donnes ensuite de petits coups de langue, recueillant ainsi le liquide lubrifiant qui s’en échappe. Tu descends le long de la hampe que tu enserres à moitié dans ta bouche, jusqu’à ses couilles que tu lèches doucement, puis tu remontes et à ce moment là, tu le prends entièrement dans ta bouche. Pendant ce temps il te caresse les cheveux. Tu fais plusieurs fois ce mouvement et prends l’ensemble de ses couilles, il est au Nirvana… et moi au comble de l’excitation !
Te retirant :
- Il est trop gros, je vais me décrocher la mâchoire et cela ne va jamais rentrer !
Guy se décontracte, la tête renversée, il sourit et caresse tes cheveux, visiblement aux anges.
Je déboutonne ton chemisier puis je dégrafe ton soutien gorge, laissant apparaître deux seins ronds et blanc, fermes et parfaits, sans plis en dessous, avec les pointes dressées et bien dures, à peine plus sombres que la peau. Je t’enlève ensuite ta jupe, te laissant juste ta petite culotte noire. Cela me fait une drôle d’impression de te voir nue dans les bras d’un autre avec, dans la bouche, une bite qui n’est pas la mienne, et en plus, toute noire !
- Montre lui comme tu es belle, montre lui tes beaux seins ! Comment tu trouves ses seins ?
- Oh, Claire, vous êtes belle, vos seins sont magnifiques, juste comme je les imaginais !
- Tu peux les caresser si tu veux
Il se met alors à te caresser les seins, puis il descend sa main le long de ta taille et sur ton ventre, pour venir effleurer l’intérieur de tes cuisses. Il entreprend de t’enlever ta culotte, tout doucement. Une fois cet accessoire inutile retiré, ses doigts vont délicatement fouiller ton intimité, je constate que tu es toute mouillée déjà. Cela prouve que tu apprécies, tant mieux. Il faut que le plaisir soit partagé. Je me déshabille à mon tour et guide ta main vers mon sexe qui réclame des caresses. Tu la retires aussitôt, « priorité à notre invité !». Ses grandes mains noires sur ton corps fin et blanc me donnent encore plus envie de toi.
- Regarde comme elle est belle, tu n’as pas envie de la prendre, là, devant moi ?
- Oui elle est belle, elle suce formidablement bien, c’est extraordinaire comme impression ! C’est un beau cadeau dont je me souviendrai toujours ! Maintenant je vais la baiser !
- Non, pas tout de suite, et puis il est trop gros ton engin, Guy, il ne va jamais rentrer, cela va faire trop mal ! , dis-tu
- Mais si, il va rentrer, tu es toute mouillée, et puis je préparerai le passage. Mais avant, je vais t’exciter davantage, pendant que tu continues à t’occuper de lui avec ta bouche. Guy, si c’est trop et que tu sens que tu vas venir, tu le dis, on fera une pause, il faut faire durer le plaisir.
Guy et moi achevons d’enlever nos vêtements, puis je te couche sur le côté, sur le canapé, tu es accoudée sur ses cuisses et moi, la tête entre tes jambes, j’entreprends de titiller ton clitoris avec ma langue. Je fais des petits mouvements circulaires et vais humecter, s’il en était besoin, le sillon de tes lèvres avec ma langue, ces lèvres qui vont bientôt accueillir ce gros vit tout noir. Tu commences à haleter et je sens que tu es proche de la jouissance, alors je te relève, tu es à quatre pattes sur le canapé, tu continues à le satisfaire avec ta bouche et dans le même temps je m’introduis en toi, je bande comme un taureau. Nous sommes tellement mouillés que je te pénètre sans effort jusqu’à la garde.
Très vite je dois me retirer car je sens qu’au comble de l’excitation, je suis déjà au bord de l’explosion.
- Maintenant, je voudrais que Guy te prenne, à son tour.
- Comment je me mets ?
- Je ne sais pas, tu as des préférences, Guy ? Moi je te verrais bien sur elle, pour commencer.
- Oui, cela sera bien comme cela, dit Guy.
- Couche toi sur le dos, au bout du canapé, avec les jambes reposant par terre.
Tu t’exécutes et, une fois couchée ainsi, je t’écarte doucement les cuisses afin que Guy puisse s’y glisser. Présentant son gland humide contre tes lèvres non moins humides, après avoir cherché le passage, il s’introduit et enfonce lentement son gros engin tout noir, jusqu’au bout, puis donne un brusque coup de reins, qui t’arrache un gémissement. Alors il commence à aller et venir en toi, sur toute sa longueur, s’enfonçant à chaque fois jusqu’à la garde, lentement, puis il effectue un mouvement de plus en plus rapide. Toi qui ne dis jamais rien, tu commences à gémir de plus en plus fort, cela m’excite beaucoup. Tu as alors noué tes jambes autour de la taille de Guy pour mieux te faire perforer, pendant que je t'embrasse à pleine bouche pour recueillir le souffle de ton plaisir.
- Cela fait mal !
- Tu veux que j’arrête ? dit Guy
- Non, continue, doucement, vas-y, encore! réponds-tu.
- Guy, quand tu seras au moment de jouir, je te demande de ne pas décharger en elle mais de te retirer, s’il te plaît, lui dis-je.
- OK, c’est tellement bon, je ne vais pas tarder… souffle Guy.
Tout en allant et venant en toi, il t’enserre ta taille si fine entre ses grandes mains, il peut presque en faire le tour complet. Puis, il remonte vers tes seins qu’il caresse, chacun tient entièrement dans sa main, il titille et suçotte le téton dressé et dur. Puis il se couche sur toi et t’embrasse violemment, dans le cou, sur la bouche. Tu cries de plaisir. Le noir te laboure, te défonce, et le plaisir revient dans ton ventre, te provoquant une jouissance démesurée, te faisant perdre tes esprits dans un grand râle de plaisir. Le contraste de couleurs de sa peau noire sur ta peau blanche est du plus bel effet. Je ne perds rien de la vision de ce gros mandrin sombre qui va et vient en toi… En même temps qu’il te pénètre, je te caresse le clitoris et ton corps ondule en mesure. N’y tenant plus, Guy se retire brusquement et décharge de grands jets saccadés de sperme sur toi. La puissance du premier jet atteint ton cou et ton menton, plusieurs traits blancs courent de ton ventre vers tes seins, un dernier gros paquet atterrit sur ton joli ventre plat et forme un petit lac sur ton nombril. Quel jet puissant! A mon tour, sans même me toucher, je décharge un flot de sperme sur tes seins.
Si vous voulez la suite, il y en a une...
