Trio avec un ami africain
- frenchhubby
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- Enregistré le : mer. 18 avr. 2012 18:10
- Situation : Homme
- Département : Paris
- Ville : ile de france
Trio avec un ami africain
J’avais un ami africain originaire du Bénin, étudiant étranger. Beau gosse bien musclé, bien noir, nous l’appellerons Guy.
C’est la fin de l’année et il va repartir dans son pays.
Avec ma femme Claire, nous nous demandons ce que nous pouvons lui offrir comme cadeau pour qu’il garde un bon souvenir de son séjour, et avons décidé de l’inviter à dîner chez nous, pour son dernier soir en France, quelques jours plus tard. Ne trouvant décidément pas d’idée de cadeau, il me vient une idée folle, et je te dis que son plus beau cadeau souvenir serait que tu fasses l’amour avec lui, il doit rêver de connaître la femme blanche, une jolie blonde, en plus, quelle aubaine ! Tu me réponds que je suis fou, qu’il n’en est pas question. Nous n’y revenons pas.
Claire est petite et très bien faite, très mince avec la taille fine, des petites fesses rondes et de jolis petits seins qui tiennent bien. Elle a des cheveux blonds mi-longs, très épais, de grands yeux verts, une jolie bouche aux lèvres fines et bien dessinées, avec un joli visage en forme de cœur.
Puis arrive le jour de l’invitation. Le midi quand je rentre déjeuner, tu me dis que tu as réfléchi et que finalement, l’idée a fait son chemin et sans y adhérer vraiment, tu te poses la question mais tu as encore des réticences. Tu as peur que je t’en veuille après, que je considère que tu m’aurais trompé. Je te réponds que non, pas du tout, puisque je te l’ai proposé, en plus j’aimerais participer et en quelque sorte, te partager, pas te « donner », et je serai là.
Tu arrives pour accueillir notre invité, tes cheveux blonds bien lisses et lourds, avec un serre-tête en velours noir, tu es allée chez le coiffeur, je le note tout de suite. Tu portes une jupe rouge, bien au dessus du genou, pas de collants. Tu as mis un chemisier noir et (hélas, mais je m’en doutais) un soutien gorge, noir aussi, mais il est pigeonnant et contrairement à ton habitude, tu as déboutonné ton chemiser afin que d’un regard indiscret on puisse deviner le galbe parfait de la naissance de tes seins. Tu as un joli maquillage léger, tes lèvres sont assorties à tes longs ongles, un carmin, ravissant, j’aime beaucoup. Avec des chaussures vernies à talon, je te trouve très désirable…
Tu es assise sur le foot stool, notre invité est en face de toi, sur le canapé. Ta position en contrebas a fait remonter ta jupe, laissant apparaître tes jolies cuisses et notre ami, depuis son poste d’observation plus élevé, dispose aussi d’une vue plongeante sur ton décolleté. Il te dévore des yeux, il n’en perd pas une miette, je vois que tu lui plais et assurément tu le sens aussi, tes regards appuyés l’encouragent à poursuivre dans cette voie.
Je me place à côté de lui :
- Trinquons à cette belle année qui se termine ! Bientôt de retour à la maison, tu dois être content de revenir au pays
- C’est vrai, je suis content, en même temps je regretterai le temps passé ici.
- Avec Claire, nous avons souhaité te faire un cadeau pour que tu conserves le meilleur souvenir de ton séjour, n’est-ce pas ma Claire ?
Tu rougis un peu et souris sans rien dire.
- Viens t’asseoir avec nous, Claire, tu seras mieux sur le canapé, viens te mettre entre nous. Guy, fais lui une petite place s’il te plaît.
Tu te cales dans le canapé, je suis à ta droite et Guy, à ta gauche. Je pose ma main sur ta cuisse et remonte un peu.
- Guy, qu’aimerais-tu comme cadeau, c’est une surprise mais je te laisse deviner ?
- Je ne sais pas, vraiment pas.
- Alors, ferme les yeux et attends, on va le chercher, tu vas voir.
Je te dis à l’oreille, sans qu’il puisse entendre : « embrasse le ». Alors tu te tournes vers lui, mets ton bras autour de son cou et tu commences à embrasser doucement ses grosses lèvres. Surpris, Guy ouvre les yeux et d’abord ne sait pas quoi faire de ses bras, emprunté et intimidé.
- Vas-y, embrasse là ! Tu te souviens de notre conversation ? Si tu veux, ce soir, tu vas pouvoir faire l’amour avec une femme blanche comme tu le souhaitais, le seul problème c’est que nous serons deux à le faire, je suis le mari, quand même, j’espère que tu acceptes de partager ton cadeau ?
Pour toute réponse, il t’enlace tendrement et t’embrasse avec fougue, sa langue venant profondément chercher la tienne. Son pantalon forme déjà une bosse proéminente, ta main va la caresser délicatement, je sens de mon côté aussi poindre une érection vigoureuse. Puis ta main, alors qu’il t’embrasse encore, - ce n’est pas possible, vous êtes en apnée et cherchez à battre un record !-, tu dégrafes son pantalon et sa braguette, tu pars à la recherche de son braquemard qui apparaît alors dans ta main, dressé, énorme, épais et assez long. Il est un peu plus long et plus large que le mien, mais pas beaucoup plus, entièrement noir y compris le gland, avec une grosse veine sur le dessus. Coup de chance, il est circoncis, lui aussi. Bon, contrairement à la réputation des noirs, si son engin est d’une taille respectable, il n’est pas monstrueux, ce n’est pas un pieux, tant mieux. Il n’a quasiment pas de poils, juste quelques petits réseaux crépus que l’on devine sur le bas ventre, rien sur les couilles, tu ne seras pas gênée par les poils, pour une fois. On devine ses abdominaux en plaque de chocolat (noir, le meilleur !), par sa chemise ouverte. Ta main commence à glisser le long de ce membre viril qui perle déjà. Le mouvement de bas en haut de ta main lui donne rapidement sa forme légèrement incurvée vers le haut, à l’inverse de moi. Je pense alors qu’il te fera une sensation différente, tu devrais aimer, c’est sûr.
Tu te penches alors sur lui et tes lèvres fines, rouges et délicates commencent par embrasser le gland sur lequel tu donnes ensuite de petits coups de langue, recueillant ainsi le liquide lubrifiant qui s’en échappe. Tu descends le long de la hampe que tu enserres à moitié dans ta bouche, jusqu’à ses couilles que tu lèches doucement, puis tu remontes et à ce moment là, tu le prends entièrement dans ta bouche. Pendant ce temps il te caresse les cheveux. Tu fais plusieurs fois ce mouvement et prends l’ensemble de ses couilles, il est au Nirvana… et moi au comble de l’excitation !
Te retirant :
- Il est trop gros, je vais me décrocher la mâchoire et cela ne va jamais rentrer !
Guy se décontracte, la tête renversée, il sourit et caresse tes cheveux, visiblement aux anges.
Je déboutonne ton chemisier puis je dégrafe ton soutien gorge, laissant apparaître deux seins ronds et blanc, fermes et parfaits, sans plis en dessous, avec les pointes dressées et bien dures, à peine plus sombres que la peau. Je t’enlève ensuite ta jupe, te laissant juste ta petite culotte noire. Cela me fait une drôle d’impression de te voir nue dans les bras d’un autre avec, dans la bouche, une bite qui n’est pas la mienne, et en plus, toute noire !
- Montre lui comme tu es belle, montre lui tes beaux seins ! Comment tu trouves ses seins ?
- Oh, Claire, vous êtes belle, vos seins sont magnifiques, juste comme je les imaginais !
- Tu peux les caresser si tu veux
Il se met alors à te caresser les seins, puis il descend sa main le long de ta taille et sur ton ventre, pour venir effleurer l’intérieur de tes cuisses. Il entreprend de t’enlever ta culotte, tout doucement. Une fois cet accessoire inutile retiré, ses doigts vont délicatement fouiller ton intimité, je constate que tu es toute mouillée déjà. Cela prouve que tu apprécies, tant mieux. Il faut que le plaisir soit partagé. Je me déshabille à mon tour et guide ta main vers mon sexe qui réclame des caresses. Tu la retires aussitôt, « priorité à notre invité !». Ses grandes mains noires sur ton corps fin et blanc me donnent encore plus envie de toi.
- Regarde comme elle est belle, tu n’as pas envie de la prendre, là, devant moi ?
- Oui elle est belle, elle suce formidablement bien, c’est extraordinaire comme impression ! C’est un beau cadeau dont je me souviendrai toujours ! Maintenant je vais la baiser !
- Non, pas tout de suite, et puis il est trop gros ton engin, Guy, il ne va jamais rentrer, cela va faire trop mal ! , dis-tu
- Mais si, il va rentrer, tu es toute mouillée, et puis je préparerai le passage. Mais avant, je vais t’exciter davantage, pendant que tu continues à t’occuper de lui avec ta bouche. Guy, si c’est trop et que tu sens que tu vas venir, tu le dis, on fera une pause, il faut faire durer le plaisir.
Guy et moi achevons d’enlever nos vêtements, puis je te couche sur le côté, sur le canapé, tu es accoudée sur ses cuisses et moi, la tête entre tes jambes, j’entreprends de titiller ton clitoris avec ma langue. Je fais des petits mouvements circulaires et vais humecter, s’il en était besoin, le sillon de tes lèvres avec ma langue, ces lèvres qui vont bientôt accueillir ce gros vit tout noir. Tu commences à haleter et je sens que tu es proche de la jouissance, alors je te relève, tu es à quatre pattes sur le canapé, tu continues à le satisfaire avec ta bouche et dans le même temps je m’introduis en toi, je bande comme un taureau. Nous sommes tellement mouillés que je te pénètre sans effort jusqu’à la garde.
Très vite je dois me retirer car je sens qu’au comble de l’excitation, je suis déjà au bord de l’explosion.
- Maintenant, je voudrais que Guy te prenne, à son tour.
- Comment je me mets ?
- Je ne sais pas, tu as des préférences, Guy ? Moi je te verrais bien sur elle, pour commencer.
- Oui, cela sera bien comme cela, dit Guy.
- Couche toi sur le dos, au bout du canapé, avec les jambes reposant par terre.
Tu t’exécutes et, une fois couchée ainsi, je t’écarte doucement les cuisses afin que Guy puisse s’y glisser. Présentant son gland humide contre tes lèvres non moins humides, après avoir cherché le passage, il s’introduit et enfonce lentement son gros engin tout noir, jusqu’au bout, puis donne un brusque coup de reins, qui t’arrache un gémissement. Alors il commence à aller et venir en toi, sur toute sa longueur, s’enfonçant à chaque fois jusqu’à la garde, lentement, puis il effectue un mouvement de plus en plus rapide. Toi qui ne dis jamais rien, tu commences à gémir de plus en plus fort, cela m’excite beaucoup. Tu as alors noué tes jambes autour de la taille de Guy pour mieux te faire perforer, pendant que je t'embrasse à pleine bouche pour recueillir le souffle de ton plaisir.
- Cela fait mal !
- Tu veux que j’arrête ? dit Guy
- Non, continue, doucement, vas-y, encore! réponds-tu.
- Guy, quand tu seras au moment de jouir, je te demande de ne pas décharger en elle mais de te retirer, s’il te plaît, lui dis-je.
- OK, c’est tellement bon, je ne vais pas tarder… souffle Guy.
Tout en allant et venant en toi, il t’enserre ta taille si fine entre ses grandes mains, il peut presque en faire le tour complet. Puis, il remonte vers tes seins qu’il caresse, chacun tient entièrement dans sa main, il titille et suçotte le téton dressé et dur. Puis il se couche sur toi et t’embrasse violemment, dans le cou, sur la bouche. Tu cries de plaisir. Le noir te laboure, te défonce, et le plaisir revient dans ton ventre, te provoquant une jouissance démesurée, te faisant perdre tes esprits dans un grand râle de plaisir. Le contraste de couleurs de sa peau noire sur ta peau blanche est du plus bel effet. Je ne perds rien de la vision de ce gros mandrin sombre qui va et vient en toi… En même temps qu’il te pénètre, je te caresse le clitoris et ton corps ondule en mesure. N’y tenant plus, Guy se retire brusquement et décharge de grands jets saccadés de sperme sur toi. La puissance du premier jet atteint ton cou et ton menton, plusieurs traits blancs courent de ton ventre vers tes seins, un dernier gros paquet atterrit sur ton joli ventre plat et forme un petit lac sur ton nombril. Quel jet puissant! A mon tour, sans même me toucher, je décharge un flot de sperme sur tes seins.
Si vous voulez la suite, il y en a une...
C’est la fin de l’année et il va repartir dans son pays.
Avec ma femme Claire, nous nous demandons ce que nous pouvons lui offrir comme cadeau pour qu’il garde un bon souvenir de son séjour, et avons décidé de l’inviter à dîner chez nous, pour son dernier soir en France, quelques jours plus tard. Ne trouvant décidément pas d’idée de cadeau, il me vient une idée folle, et je te dis que son plus beau cadeau souvenir serait que tu fasses l’amour avec lui, il doit rêver de connaître la femme blanche, une jolie blonde, en plus, quelle aubaine ! Tu me réponds que je suis fou, qu’il n’en est pas question. Nous n’y revenons pas.
Claire est petite et très bien faite, très mince avec la taille fine, des petites fesses rondes et de jolis petits seins qui tiennent bien. Elle a des cheveux blonds mi-longs, très épais, de grands yeux verts, une jolie bouche aux lèvres fines et bien dessinées, avec un joli visage en forme de cœur.
Puis arrive le jour de l’invitation. Le midi quand je rentre déjeuner, tu me dis que tu as réfléchi et que finalement, l’idée a fait son chemin et sans y adhérer vraiment, tu te poses la question mais tu as encore des réticences. Tu as peur que je t’en veuille après, que je considère que tu m’aurais trompé. Je te réponds que non, pas du tout, puisque je te l’ai proposé, en plus j’aimerais participer et en quelque sorte, te partager, pas te « donner », et je serai là.
Tu arrives pour accueillir notre invité, tes cheveux blonds bien lisses et lourds, avec un serre-tête en velours noir, tu es allée chez le coiffeur, je le note tout de suite. Tu portes une jupe rouge, bien au dessus du genou, pas de collants. Tu as mis un chemisier noir et (hélas, mais je m’en doutais) un soutien gorge, noir aussi, mais il est pigeonnant et contrairement à ton habitude, tu as déboutonné ton chemiser afin que d’un regard indiscret on puisse deviner le galbe parfait de la naissance de tes seins. Tu as un joli maquillage léger, tes lèvres sont assorties à tes longs ongles, un carmin, ravissant, j’aime beaucoup. Avec des chaussures vernies à talon, je te trouve très désirable…
Tu es assise sur le foot stool, notre invité est en face de toi, sur le canapé. Ta position en contrebas a fait remonter ta jupe, laissant apparaître tes jolies cuisses et notre ami, depuis son poste d’observation plus élevé, dispose aussi d’une vue plongeante sur ton décolleté. Il te dévore des yeux, il n’en perd pas une miette, je vois que tu lui plais et assurément tu le sens aussi, tes regards appuyés l’encouragent à poursuivre dans cette voie.
Je me place à côté de lui :
- Trinquons à cette belle année qui se termine ! Bientôt de retour à la maison, tu dois être content de revenir au pays
- C’est vrai, je suis content, en même temps je regretterai le temps passé ici.
- Avec Claire, nous avons souhaité te faire un cadeau pour que tu conserves le meilleur souvenir de ton séjour, n’est-ce pas ma Claire ?
Tu rougis un peu et souris sans rien dire.
- Viens t’asseoir avec nous, Claire, tu seras mieux sur le canapé, viens te mettre entre nous. Guy, fais lui une petite place s’il te plaît.
Tu te cales dans le canapé, je suis à ta droite et Guy, à ta gauche. Je pose ma main sur ta cuisse et remonte un peu.
- Guy, qu’aimerais-tu comme cadeau, c’est une surprise mais je te laisse deviner ?
- Je ne sais pas, vraiment pas.
- Alors, ferme les yeux et attends, on va le chercher, tu vas voir.
Je te dis à l’oreille, sans qu’il puisse entendre : « embrasse le ». Alors tu te tournes vers lui, mets ton bras autour de son cou et tu commences à embrasser doucement ses grosses lèvres. Surpris, Guy ouvre les yeux et d’abord ne sait pas quoi faire de ses bras, emprunté et intimidé.
- Vas-y, embrasse là ! Tu te souviens de notre conversation ? Si tu veux, ce soir, tu vas pouvoir faire l’amour avec une femme blanche comme tu le souhaitais, le seul problème c’est que nous serons deux à le faire, je suis le mari, quand même, j’espère que tu acceptes de partager ton cadeau ?
Pour toute réponse, il t’enlace tendrement et t’embrasse avec fougue, sa langue venant profondément chercher la tienne. Son pantalon forme déjà une bosse proéminente, ta main va la caresser délicatement, je sens de mon côté aussi poindre une érection vigoureuse. Puis ta main, alors qu’il t’embrasse encore, - ce n’est pas possible, vous êtes en apnée et cherchez à battre un record !-, tu dégrafes son pantalon et sa braguette, tu pars à la recherche de son braquemard qui apparaît alors dans ta main, dressé, énorme, épais et assez long. Il est un peu plus long et plus large que le mien, mais pas beaucoup plus, entièrement noir y compris le gland, avec une grosse veine sur le dessus. Coup de chance, il est circoncis, lui aussi. Bon, contrairement à la réputation des noirs, si son engin est d’une taille respectable, il n’est pas monstrueux, ce n’est pas un pieux, tant mieux. Il n’a quasiment pas de poils, juste quelques petits réseaux crépus que l’on devine sur le bas ventre, rien sur les couilles, tu ne seras pas gênée par les poils, pour une fois. On devine ses abdominaux en plaque de chocolat (noir, le meilleur !), par sa chemise ouverte. Ta main commence à glisser le long de ce membre viril qui perle déjà. Le mouvement de bas en haut de ta main lui donne rapidement sa forme légèrement incurvée vers le haut, à l’inverse de moi. Je pense alors qu’il te fera une sensation différente, tu devrais aimer, c’est sûr.
Tu te penches alors sur lui et tes lèvres fines, rouges et délicates commencent par embrasser le gland sur lequel tu donnes ensuite de petits coups de langue, recueillant ainsi le liquide lubrifiant qui s’en échappe. Tu descends le long de la hampe que tu enserres à moitié dans ta bouche, jusqu’à ses couilles que tu lèches doucement, puis tu remontes et à ce moment là, tu le prends entièrement dans ta bouche. Pendant ce temps il te caresse les cheveux. Tu fais plusieurs fois ce mouvement et prends l’ensemble de ses couilles, il est au Nirvana… et moi au comble de l’excitation !
Te retirant :
- Il est trop gros, je vais me décrocher la mâchoire et cela ne va jamais rentrer !
Guy se décontracte, la tête renversée, il sourit et caresse tes cheveux, visiblement aux anges.
Je déboutonne ton chemisier puis je dégrafe ton soutien gorge, laissant apparaître deux seins ronds et blanc, fermes et parfaits, sans plis en dessous, avec les pointes dressées et bien dures, à peine plus sombres que la peau. Je t’enlève ensuite ta jupe, te laissant juste ta petite culotte noire. Cela me fait une drôle d’impression de te voir nue dans les bras d’un autre avec, dans la bouche, une bite qui n’est pas la mienne, et en plus, toute noire !
- Montre lui comme tu es belle, montre lui tes beaux seins ! Comment tu trouves ses seins ?
- Oh, Claire, vous êtes belle, vos seins sont magnifiques, juste comme je les imaginais !
- Tu peux les caresser si tu veux
Il se met alors à te caresser les seins, puis il descend sa main le long de ta taille et sur ton ventre, pour venir effleurer l’intérieur de tes cuisses. Il entreprend de t’enlever ta culotte, tout doucement. Une fois cet accessoire inutile retiré, ses doigts vont délicatement fouiller ton intimité, je constate que tu es toute mouillée déjà. Cela prouve que tu apprécies, tant mieux. Il faut que le plaisir soit partagé. Je me déshabille à mon tour et guide ta main vers mon sexe qui réclame des caresses. Tu la retires aussitôt, « priorité à notre invité !». Ses grandes mains noires sur ton corps fin et blanc me donnent encore plus envie de toi.
- Regarde comme elle est belle, tu n’as pas envie de la prendre, là, devant moi ?
- Oui elle est belle, elle suce formidablement bien, c’est extraordinaire comme impression ! C’est un beau cadeau dont je me souviendrai toujours ! Maintenant je vais la baiser !
- Non, pas tout de suite, et puis il est trop gros ton engin, Guy, il ne va jamais rentrer, cela va faire trop mal ! , dis-tu
- Mais si, il va rentrer, tu es toute mouillée, et puis je préparerai le passage. Mais avant, je vais t’exciter davantage, pendant que tu continues à t’occuper de lui avec ta bouche. Guy, si c’est trop et que tu sens que tu vas venir, tu le dis, on fera une pause, il faut faire durer le plaisir.
Guy et moi achevons d’enlever nos vêtements, puis je te couche sur le côté, sur le canapé, tu es accoudée sur ses cuisses et moi, la tête entre tes jambes, j’entreprends de titiller ton clitoris avec ma langue. Je fais des petits mouvements circulaires et vais humecter, s’il en était besoin, le sillon de tes lèvres avec ma langue, ces lèvres qui vont bientôt accueillir ce gros vit tout noir. Tu commences à haleter et je sens que tu es proche de la jouissance, alors je te relève, tu es à quatre pattes sur le canapé, tu continues à le satisfaire avec ta bouche et dans le même temps je m’introduis en toi, je bande comme un taureau. Nous sommes tellement mouillés que je te pénètre sans effort jusqu’à la garde.
Très vite je dois me retirer car je sens qu’au comble de l’excitation, je suis déjà au bord de l’explosion.
- Maintenant, je voudrais que Guy te prenne, à son tour.
- Comment je me mets ?
- Je ne sais pas, tu as des préférences, Guy ? Moi je te verrais bien sur elle, pour commencer.
- Oui, cela sera bien comme cela, dit Guy.
- Couche toi sur le dos, au bout du canapé, avec les jambes reposant par terre.
Tu t’exécutes et, une fois couchée ainsi, je t’écarte doucement les cuisses afin que Guy puisse s’y glisser. Présentant son gland humide contre tes lèvres non moins humides, après avoir cherché le passage, il s’introduit et enfonce lentement son gros engin tout noir, jusqu’au bout, puis donne un brusque coup de reins, qui t’arrache un gémissement. Alors il commence à aller et venir en toi, sur toute sa longueur, s’enfonçant à chaque fois jusqu’à la garde, lentement, puis il effectue un mouvement de plus en plus rapide. Toi qui ne dis jamais rien, tu commences à gémir de plus en plus fort, cela m’excite beaucoup. Tu as alors noué tes jambes autour de la taille de Guy pour mieux te faire perforer, pendant que je t'embrasse à pleine bouche pour recueillir le souffle de ton plaisir.
- Cela fait mal !
- Tu veux que j’arrête ? dit Guy
- Non, continue, doucement, vas-y, encore! réponds-tu.
- Guy, quand tu seras au moment de jouir, je te demande de ne pas décharger en elle mais de te retirer, s’il te plaît, lui dis-je.
- OK, c’est tellement bon, je ne vais pas tarder… souffle Guy.
Tout en allant et venant en toi, il t’enserre ta taille si fine entre ses grandes mains, il peut presque en faire le tour complet. Puis, il remonte vers tes seins qu’il caresse, chacun tient entièrement dans sa main, il titille et suçotte le téton dressé et dur. Puis il se couche sur toi et t’embrasse violemment, dans le cou, sur la bouche. Tu cries de plaisir. Le noir te laboure, te défonce, et le plaisir revient dans ton ventre, te provoquant une jouissance démesurée, te faisant perdre tes esprits dans un grand râle de plaisir. Le contraste de couleurs de sa peau noire sur ta peau blanche est du plus bel effet. Je ne perds rien de la vision de ce gros mandrin sombre qui va et vient en toi… En même temps qu’il te pénètre, je te caresse le clitoris et ton corps ondule en mesure. N’y tenant plus, Guy se retire brusquement et décharge de grands jets saccadés de sperme sur toi. La puissance du premier jet atteint ton cou et ton menton, plusieurs traits blancs courent de ton ventre vers tes seins, un dernier gros paquet atterrit sur ton joli ventre plat et forme un petit lac sur ton nombril. Quel jet puissant! A mon tour, sans même me toucher, je décharge un flot de sperme sur tes seins.
Si vous voulez la suite, il y en a une...
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Re: Trio avec un ami africain
bien sur qu'on veut la suite
mmm super trio
montre nous des photos de miss aussi
mmm super trio
montre nous des photos de miss aussi
Re: Trio avec un ami africain
on est en quel année là? la "femme blanche" "réputation des noirs" "grosses lèvres" "bien noir"... on dirait un texte du 18ème parlant de stéréotypes européens sur la soi disante diablerie des noirs. Ou encore une version pornographique de Tintin au congo.
- frenchhubby
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Re: Trio avec un ami africain
Je me doutais bien qu'il y aurait le grincheux de service .... Sans rentrer dans des discussions inutiles, je dirai simplement qu'on est là pour s'amuser, pas pour recevoir des leçons de pseudo-anthroôlogie ou de morale bien-pensante. Si vous êtes étranger à ce genre de fantasme, merci de garder vos aigreurs pour vous.franun a écrit :on est en quel année là? la "femme blanche" "réputation des noirs" "grosses lèvres" "bien noir"... on dirait un texte du 18ème parlant de stéréotypes européens sur la soi disante diablerie des noirs. Ou encore une version pornographique de Tintin au congo.
Comme il y en a au moins un qui a apprécié, voici la suite, peut-être une autre fois, la fin!
Partie te refaire une beauté, tu reviens, toute fraiche, avec un maquillage relooké, tu es vraiment bandante et l’effet est immédiat sur tes deux admirateurs.
- Claire, Guy voudrait te sodomiser, tu veux essayer ?
A ma grande surprise, tu réponds :
- Pourquoi pas, c’est une idée, comment tu veux, dans quelle position ? Mais attention, si cela fait trop mal, on arrête.
- Reprenez ce que vous faisiez avant de partir, je vais te préparer, dis-je.
Tu t’es alors positionnée face à lui et tu l’as pris dans ta bouche, les fesses en l’air face à moi. J’ai alors commencé à te lécher l’anus, amenant avec ma langue les douces sécrétions de ton vagin, afin de bien humecter l’entrée. Puis j’ai mis mon doigt après l’avoir mouillé, ce qui t’a donné la chair de poule sur les fesses, que je me suis empressé d’embrasser. Tes hanches impriment un mouvement circulaire synchrone avec celui de ta bouche sur le gland de notre ami.
- Guy, je pense que tu peux y aller, elle est prête à te recevoir.
Tu t’allonges sur le ventre, tout en écartant les fesses pour te tenir prête à l’accueillir, tu halètes. Tu n'aimais pas trop être prise par là, et tu me l'avais refusé plusieurs fois, mais là, tu ne dis rien, et la grosse verge commence à s’approcher. En proie à une érection d’enfer, je regarde son gros membre noir s’approcher de tes fesses, pour s’introduire et disparaître comme happé par le petit orifice, enfoncé jusqu’à la garde. Je ne pensais pas qu’il entrerait aussi facilement. Tu as commencé à gémir alors qu’il ressortait presque entièrement son engin pour ensuite mieux replonger jusqu’au fond. Je me suis alors placé devant toi et j’ai approché mon gland de tes lèvres, tu n’as fait aucune difficulté pour me prendre tout entier dans ta bouche.
- Cela t’excite de me voir sodomiser ta femme ? me dit Guy.
- Oui, beaucoup, dès lors qu’elle y prend plaisir, ce qui a l’air d’être le cas.
- Oui cela m’excite que tu me sodomises devant lui, que tu me fasses jouir devant lui… ajoutes tu.
Sous les coups de boutoir de ton amant tu m’as lâché, la sensation étant trop forte pour faire deux choses à la fois. Au fur et à mesure que tu parles il commence un profond mouvement de va-et-vient dans ton cul, qu’il accélére bientôt. Il prend tes fesses à pleines mains et les malaxe, puis te caresse les seins. Je te caresse aussi le clitoris et te sens réagir sous l’action conjuguée de mes doigts et de ce monstre qui te laboure.
- Je vais jouir, je vais gicler dans ton petit cul blanc magnifique, lance Guy.
Puis il pousse alors un râle formidable et éjacule en toi pendant que tu cries:
- Je te sens, c’est chaud, je jouis, aaaah !!!...
Après avoir joui, Guy se retire, sa bite à peine dégonflée… De mon côté tout est parti sur ton dos et sur tes fesses, je n’en pouvais plus d’excitation, c’était trop…
- Alors, tu vois, c’était bien, tu as aimé ?
- Oh oui, je ne pensais pas que j’aimerais à ce point ! tu me réponds
- Il faudra que l’on recommence, te dis-je alors.
Guy nous quitte alors pour aller se rafraîchir à son tour. Pendant son absence je te prends dans mes bras :
- Comment tu trouves cette expérience exotique et inhabituelle ? ça a l’air de te faire de l’effet, en tous cas !
- Je ne regrette pas, c’était une bonne idée, mais c’est vraiment chaud… Tu ne m’en voudras pas d’y avoir pris du plaisir?
- Au contraire, je t’en aurais voulu si tu n’y avais pas pris plaisir, cela n’aurait pas été drôle. Attends, on va continuer, ce n’est pas fini. Pourquoi je t’en voudrais ? Et c’est un souvenir complice qui nous excitera longtemps et qui nous fera encore rire quand nous serons vieux ! Mais tu vas pouvoir nous faire jouir au moins trois fois chacun. D’ailleurs il revient. Moi aussi, je vais me rafraîchir. Soyez sages, dis-je en souriant, en partant vers la salle de bains !
A mon retour, alors que tu titilles encore son sexe avec ta langue, je te dis :
- Claire, on va jouer à un jeu. Tu vas nous faire un « plaisir des dieux » à tous les deux, en même temps, et le premier qui jouit dans ta bouche a un gage, OK ?
- OK !
-
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- Enregistré le : mer. 4 janv. 2012 11:52
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Re: Trio avec un ami africain
beau second chapitre.. vite le troisieme.
et ne t'occupe pas des mauvaise langue...
je ne vois pas ou est le stéréotipe du noir et du blanc...
et ne t'occupe pas des mauvaise langue...
je ne vois pas ou est le stéréotipe du noir et du blanc...
Re: Trio avec un ami africain
"Je me doutais bien qu'il y aurait le grincheux de service .... Sans rentrer dans des discussions inutiles, je dirai simplement qu'on est là pour s'amuser, pas pour recevoir des leçons de pseudo-anthroôlogie ou de morale bien-pensante. Si vous êtes étranger à ce genre de fantasme, merci de garder vos aigreurs pour vous."
C'est pas une question d'être mauvaise langue ou grincheux de service - ça n'a rien d'un discussion inutile. Je trouve ton texte offensif et raciste. Je n'ai absolument rien contre le fantasme - au contraire - ni la façon de l'écrire qui est plutôt éloquente. Ce n'est plus une question de garder ses aigreurs quand ça devient insultant.
C'est pas une question d'être mauvaise langue ou grincheux de service - ça n'a rien d'un discussion inutile. Je trouve ton texte offensif et raciste. Je n'ai absolument rien contre le fantasme - au contraire - ni la façon de l'écrire qui est plutôt éloquente. Ce n'est plus une question de garder ses aigreurs quand ça devient insultant.
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Re: Trio avec un ami africain
J'adore ce récit, n'en plaise aux aigris, ce discours existe toujours, même s'il est décalé, c'est une partie aussi existante de l excitation du moment
- frenchhubby
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Re: Trio avec un ami africain
Et bien comme il y a surtout des commentaires positifs, j'ai le plaisir de vous donner le dernier chapitre et l'épilogue de cette histoire torride.
On reprend où on en était resté, relisez le dernier dialogue...
Tu saisis les deux verges, la blanche et la noire, et entreprends de les masturber, tandis que chacun de nous suce chacun, un de tes seins. Nos mains te couvrent de caresses, tes fesses, ton ventre, ta coucounette avec sa toute petite toison coupée court se tordent sous les caresses conjuguées de nous deux, et tes gémissements reprennent de plus belle. T'arrachant à nos mains brûlantes, tu t'agenouilles, et te mets à nous sucer l'un après l'autre. Tes lèvres se distendent quand elles se ferment sur la queue noire, tu as l'impression que jamais tu n'arriveras à la sucer en entier, encore moins sucer les deux ensemble (il aurait fallu suivre des cours d’avaleur de sabre !), et tandis que tu suces une queue, tu branles l'autre. Dans le même temps Guy et moi nous employons à caresser ton clitoris et introduire nos doigts entre les lèvres de ta vulve, à la recherche de ton point G. Pendant que ta main experte s’occupe de moi, ta bouche non moins experte est remplie par son gland, vas-tu avaler sa semence ou va-t-il éjaculer sur ton visage ? Pourquoi ne pas goûter ce sperme ?!... Tu as envie de le faire éjaculer en même temps que tu vas jouir ! Il râle de plus en plus fort, son gland a encore gonflé, il est proche, le sperme va arriver, tu sens les petites contractions annonciatrices de l’orgasme. Alors que tu connais un nouvel orgasme sous nos doigts, Guy éjacule abondamment dans ta bouche et moi dans ta main. Tu n’as pas eu le temps de t’écarter, il est parti trop vite, tu as plein de sperme dans la bouche, qui coule le long de ton menton et aux commissures de tes lèvres, tu en as avalé une partie, ce qui t’a fait tousser, des gouttes perlent sur tes seins…
- Guy, tu as un gage, c’est toi qui es parti le premier !
Avec du foutre plein la bouche et sur les seins, tu te précipites vers la salle de bains pour nettoyer tout cela. Nous terminons nos verres pendant ton absence, Guy est assis sur le canapé, je suis debout en face de lui, dans le plus simple appareil. Mon engin est bien retombé, le sien est encore à moitié dressé. Sur ce, tu reviens, nue et délicieuse. A te voir, notre vigueur revient instantanément.
- Guy, dis à Claire quel gage tu as choisi?
- Eh bien, je veux te faire plaisir encore une fois, si tu le veux bien.
Je te prends dans mes bras et t’embrasse tendrement. Guy, assis derrière toi, te prend par la taille et te fait basculer sur ses genoux. Il passe ses bras dans la saignée de tes genoux et te place ainsi en position de grenouille, ton dos contre son ventre. Son gros membre s’élève entre tes cuisses. Je le prends et l’introduis délicatement entre tes lèvres. Guy te fait redescendre et tu t’empales très facilement sur lui, jusqu’au fond. Il commence alors un mouvement de ton corps, de bas en haut, continuant de maintenir fermement tes jambes avec ses bras puissants. Je m’agenouille face à vous et me mets à lécher doucement ton clitoris. Parfois, compte tenu du mouvement, ma langue touche ce corps étranger en toi, cela fait une drôle d’impression. Visiblement, cela te fait beaucoup d’effet. Tu gémis de plus en plus et sembles au bord de l’orgasme. Cela nous fait redoubler d’ardeur jusqu’à ce qu’enfin tu t’abandonnes, je t’embrasse au moment fatidique, pour sentir ta jouissance dans ta bouche.
Guy se dégage alors, pour mieux s’introduire dans ton petit trou, à ton insu. Tu protestes mollement et tout de suite il recommence à te pilonner. Te voyant ainsi offerte devant moi, n’y tenant plus, je te pénètre à mon tour, par l’orifice resté libre. Il est un peu difficile de coordonner les mouvements qui sont de très faible ampleur, sous peine de se retrouver éjecté. Je le sens aller à l’intérieur de toi en même temps que moi, cela me fait une impression étrange et très agréable, tu es très serrée et tu te contractes. Pourvu qu’on ne reste pas coincés, collés comme on dit, ce serait gênant et délicat !
Très vite, tu as un second orgasme et simultanément, nous déchargeons tous deux dans ton corps, dans un râle de bonheur. Guy et moi t’embrassons fougueusement à tour de rôle. Quelle fête ! On s’en souviendra longtemps. Nos membres fatigués dégonflent vite et se retirent naturellement de leurs délicieux écrins.
Ce soir là, il n’y a finalement pas eu de repas (car c'était d'une invitation à dîner qu'il s'agissait, ou plutôt d'un apéritif dînatoire), ou plutôt d’un autre style. D’amour et d’eau fraîche, comme on dit…
- C’était vraiment une bonne idée, nous dit alors Guy, je m’en rappellerai toujours, une fois de retour au pays. On m’avait dit que la femme blanche, c’était super et j’ai été servi. Vous pourrez venir me voir à Cotonou si vous voulez, j’ai une belle maison au bord de la mer. On pourra recommencer !
- Pourquoi pas ? Claire, qu’en penses-tu ? Dommage on ne pourra pas recommencer demain, tu seras parti, Guy. Mais tu seras dans nos pensées.
- Prête à recommencer ? Comment te sens tu ?
- Fatiguée, mais…. Contente !...
- Nous irons voir notre ami chez lui ?
- Qui sait ?...
Et voilà comment s’est terminée cette soirée. Dommage qu’à l’époque on n’ait pas eu de caméra numérique (cela n’existait pas encore), c’était au début des années 80, avant les grandes terreurs du SIDA, période bénie où la libération sexuelle battait son plein. J’aurais bien voulu filmer la scène pour la revoir et nous en délecter régulièrement.
Epilogue :
Claire en fait n’était pas ma femme, au sens strict du terme. Nous étions ensemble, voilà tout. Nous avons passé un bon moment quelques années puis nos routes ont divergé. A cette époque j’avais 25 ans, elle en avait 23, comme notre ami Guy que j’ai perdu de vue il y a quelques années. Il a bien réussi dans son pays et nous n’y sommes jamais allés ; je pourrai facilement imaginer ce qui aurait pu se passer si nous avions fait un tel voyage.
Je ne pourrai pas vous mettre de photos de Claire, désolé. Tout au plus je pourrais mettre en ligne quelques dessins suggestifs de type BD « ligne claire » (notre ami serait content, cela lui rappellerait Tintin au Congo ) !), je suis assez doué pour le dessin. Je me suis marié un certain nombre d’années plus tard, après avoir vécu une bonne vie de célibataire, avec des périodes d’abstinence forcée mais aussi des période très hard, grâce auxquelles j’ai pu assouvir un certain nombre de fantasmes, notamment (hélas une seule fois, là encore), un autre trio, avec deux filles cette fois. Ce fut divin. Puis j’ai rencontré Isabelle et nous nous sommes mariés. Isabelle est physiquement du même style que Claire, ce qui n’a rien de surprenant : petite et fine, blonde BCBG… Elle a très bien vieilli, c’est une femme très attirante. Mes frasques de célibataires m’avaient calmé et j’ai été sage pendant de longues années, j’entends que je ne suis jamais allé « voir ailleurs ». Maintenant, c’est certainement le « démon de midi » qui me saisit, il me revient un certain nombre de fantasmes, dont ce fameux trio avec un beau Noir. Nous en avons parlé avec Isabelle, du trio d’abord, du Noir ensuite. Pour le trio, je lui ai suggéré que j’aimerais bien, je lui ai parlé d’un ami que nous avons, qu’elle aime bien. Bof, pas un grand enthousiasme, elle trouve que j’ai de drôles d’idées. Toutefois quand nous faisons l’amour après en avoir parlé, je trouve que… Les Noirs, elle dit qu’elle n’aime pas trop, cela ne l’attire pas particulièrement. Pourtant je trouve que le contraste des peaux est d’un érotisme insoutenable ! Je ne la forcerai en aucune façon, pour que ce type d’expérience soit positif, il faut que chacun le souhaite, il ne faut pas, à mon avis, que l’un€ des deux soit réticent, il faut vraiment en avoir envie. De même, j’aimerais bien faire l’amour à une fille de couleur, j’ai un peu vécu en Afrique (pas au Bénin, comme je disais plus haut) mais je n’ai pas « consommé » sur place, car je n’apprécie pas les amours vénales et ne voulais pas profiter de la situation, ce qui est assez courant mais me posait un problème moral (et oui !). L’idéal serait une « partie carrée » en Noir et Blanc, avec échange de partenaire et partage… Chaud…
Donc, bref, Isabelle n’est pas prête, même si nous avons à notre actif quelques séances torrides avec un beau gode. Je pense que c’est l’occasion qui pourrait faire le larron, comme on dit. Mais je n’y crois pas trop. Ou alors, me trouver une maîtresse qui ait aussi ce type de fantasme, ce serait bien , même si je ne me sens pas la motivation de chercher une maîtresse. Je prendrais plus de plaisir à voir (et participer, bien sûr) Isabelle, si charmante et si réservée, jouir intensément dans les bras d’un bel étalon…
Voilà mon récit et mes fantasmes. Ceux qui sont dans des pensées similaires sont les bienvenus et il est probable qu’ils soient nombreux sur un tel site. L’avis de ces dames serait encore plus intéressant.
Vos impressions, mais s’il vous plait, pas de leçons de morale, on est ici pour rigoler, pas pour juger. Ceux à qui cela ne plait pas ne sont pas obligés de lire…
Amicalement et érotiquement
Patrick
On reprend où on en était resté, relisez le dernier dialogue...
Tu saisis les deux verges, la blanche et la noire, et entreprends de les masturber, tandis que chacun de nous suce chacun, un de tes seins. Nos mains te couvrent de caresses, tes fesses, ton ventre, ta coucounette avec sa toute petite toison coupée court se tordent sous les caresses conjuguées de nous deux, et tes gémissements reprennent de plus belle. T'arrachant à nos mains brûlantes, tu t'agenouilles, et te mets à nous sucer l'un après l'autre. Tes lèvres se distendent quand elles se ferment sur la queue noire, tu as l'impression que jamais tu n'arriveras à la sucer en entier, encore moins sucer les deux ensemble (il aurait fallu suivre des cours d’avaleur de sabre !), et tandis que tu suces une queue, tu branles l'autre. Dans le même temps Guy et moi nous employons à caresser ton clitoris et introduire nos doigts entre les lèvres de ta vulve, à la recherche de ton point G. Pendant que ta main experte s’occupe de moi, ta bouche non moins experte est remplie par son gland, vas-tu avaler sa semence ou va-t-il éjaculer sur ton visage ? Pourquoi ne pas goûter ce sperme ?!... Tu as envie de le faire éjaculer en même temps que tu vas jouir ! Il râle de plus en plus fort, son gland a encore gonflé, il est proche, le sperme va arriver, tu sens les petites contractions annonciatrices de l’orgasme. Alors que tu connais un nouvel orgasme sous nos doigts, Guy éjacule abondamment dans ta bouche et moi dans ta main. Tu n’as pas eu le temps de t’écarter, il est parti trop vite, tu as plein de sperme dans la bouche, qui coule le long de ton menton et aux commissures de tes lèvres, tu en as avalé une partie, ce qui t’a fait tousser, des gouttes perlent sur tes seins…
- Guy, tu as un gage, c’est toi qui es parti le premier !
Avec du foutre plein la bouche et sur les seins, tu te précipites vers la salle de bains pour nettoyer tout cela. Nous terminons nos verres pendant ton absence, Guy est assis sur le canapé, je suis debout en face de lui, dans le plus simple appareil. Mon engin est bien retombé, le sien est encore à moitié dressé. Sur ce, tu reviens, nue et délicieuse. A te voir, notre vigueur revient instantanément.
- Guy, dis à Claire quel gage tu as choisi?
- Eh bien, je veux te faire plaisir encore une fois, si tu le veux bien.
Je te prends dans mes bras et t’embrasse tendrement. Guy, assis derrière toi, te prend par la taille et te fait basculer sur ses genoux. Il passe ses bras dans la saignée de tes genoux et te place ainsi en position de grenouille, ton dos contre son ventre. Son gros membre s’élève entre tes cuisses. Je le prends et l’introduis délicatement entre tes lèvres. Guy te fait redescendre et tu t’empales très facilement sur lui, jusqu’au fond. Il commence alors un mouvement de ton corps, de bas en haut, continuant de maintenir fermement tes jambes avec ses bras puissants. Je m’agenouille face à vous et me mets à lécher doucement ton clitoris. Parfois, compte tenu du mouvement, ma langue touche ce corps étranger en toi, cela fait une drôle d’impression. Visiblement, cela te fait beaucoup d’effet. Tu gémis de plus en plus et sembles au bord de l’orgasme. Cela nous fait redoubler d’ardeur jusqu’à ce qu’enfin tu t’abandonnes, je t’embrasse au moment fatidique, pour sentir ta jouissance dans ta bouche.
Guy se dégage alors, pour mieux s’introduire dans ton petit trou, à ton insu. Tu protestes mollement et tout de suite il recommence à te pilonner. Te voyant ainsi offerte devant moi, n’y tenant plus, je te pénètre à mon tour, par l’orifice resté libre. Il est un peu difficile de coordonner les mouvements qui sont de très faible ampleur, sous peine de se retrouver éjecté. Je le sens aller à l’intérieur de toi en même temps que moi, cela me fait une impression étrange et très agréable, tu es très serrée et tu te contractes. Pourvu qu’on ne reste pas coincés, collés comme on dit, ce serait gênant et délicat !
Très vite, tu as un second orgasme et simultanément, nous déchargeons tous deux dans ton corps, dans un râle de bonheur. Guy et moi t’embrassons fougueusement à tour de rôle. Quelle fête ! On s’en souviendra longtemps. Nos membres fatigués dégonflent vite et se retirent naturellement de leurs délicieux écrins.
Ce soir là, il n’y a finalement pas eu de repas (car c'était d'une invitation à dîner qu'il s'agissait, ou plutôt d'un apéritif dînatoire), ou plutôt d’un autre style. D’amour et d’eau fraîche, comme on dit…
- C’était vraiment une bonne idée, nous dit alors Guy, je m’en rappellerai toujours, une fois de retour au pays. On m’avait dit que la femme blanche, c’était super et j’ai été servi. Vous pourrez venir me voir à Cotonou si vous voulez, j’ai une belle maison au bord de la mer. On pourra recommencer !
- Pourquoi pas ? Claire, qu’en penses-tu ? Dommage on ne pourra pas recommencer demain, tu seras parti, Guy. Mais tu seras dans nos pensées.
- Prête à recommencer ? Comment te sens tu ?
- Fatiguée, mais…. Contente !...
- Nous irons voir notre ami chez lui ?
- Qui sait ?...
Et voilà comment s’est terminée cette soirée. Dommage qu’à l’époque on n’ait pas eu de caméra numérique (cela n’existait pas encore), c’était au début des années 80, avant les grandes terreurs du SIDA, période bénie où la libération sexuelle battait son plein. J’aurais bien voulu filmer la scène pour la revoir et nous en délecter régulièrement.
Epilogue :
Claire en fait n’était pas ma femme, au sens strict du terme. Nous étions ensemble, voilà tout. Nous avons passé un bon moment quelques années puis nos routes ont divergé. A cette époque j’avais 25 ans, elle en avait 23, comme notre ami Guy que j’ai perdu de vue il y a quelques années. Il a bien réussi dans son pays et nous n’y sommes jamais allés ; je pourrai facilement imaginer ce qui aurait pu se passer si nous avions fait un tel voyage.
Je ne pourrai pas vous mettre de photos de Claire, désolé. Tout au plus je pourrais mettre en ligne quelques dessins suggestifs de type BD « ligne claire » (notre ami serait content, cela lui rappellerait Tintin au Congo ) !), je suis assez doué pour le dessin. Je me suis marié un certain nombre d’années plus tard, après avoir vécu une bonne vie de célibataire, avec des périodes d’abstinence forcée mais aussi des période très hard, grâce auxquelles j’ai pu assouvir un certain nombre de fantasmes, notamment (hélas une seule fois, là encore), un autre trio, avec deux filles cette fois. Ce fut divin. Puis j’ai rencontré Isabelle et nous nous sommes mariés. Isabelle est physiquement du même style que Claire, ce qui n’a rien de surprenant : petite et fine, blonde BCBG… Elle a très bien vieilli, c’est une femme très attirante. Mes frasques de célibataires m’avaient calmé et j’ai été sage pendant de longues années, j’entends que je ne suis jamais allé « voir ailleurs ». Maintenant, c’est certainement le « démon de midi » qui me saisit, il me revient un certain nombre de fantasmes, dont ce fameux trio avec un beau Noir. Nous en avons parlé avec Isabelle, du trio d’abord, du Noir ensuite. Pour le trio, je lui ai suggéré que j’aimerais bien, je lui ai parlé d’un ami que nous avons, qu’elle aime bien. Bof, pas un grand enthousiasme, elle trouve que j’ai de drôles d’idées. Toutefois quand nous faisons l’amour après en avoir parlé, je trouve que… Les Noirs, elle dit qu’elle n’aime pas trop, cela ne l’attire pas particulièrement. Pourtant je trouve que le contraste des peaux est d’un érotisme insoutenable ! Je ne la forcerai en aucune façon, pour que ce type d’expérience soit positif, il faut que chacun le souhaite, il ne faut pas, à mon avis, que l’un€ des deux soit réticent, il faut vraiment en avoir envie. De même, j’aimerais bien faire l’amour à une fille de couleur, j’ai un peu vécu en Afrique (pas au Bénin, comme je disais plus haut) mais je n’ai pas « consommé » sur place, car je n’apprécie pas les amours vénales et ne voulais pas profiter de la situation, ce qui est assez courant mais me posait un problème moral (et oui !). L’idéal serait une « partie carrée » en Noir et Blanc, avec échange de partenaire et partage… Chaud…
Donc, bref, Isabelle n’est pas prête, même si nous avons à notre actif quelques séances torrides avec un beau gode. Je pense que c’est l’occasion qui pourrait faire le larron, comme on dit. Mais je n’y crois pas trop. Ou alors, me trouver une maîtresse qui ait aussi ce type de fantasme, ce serait bien , même si je ne me sens pas la motivation de chercher une maîtresse. Je prendrais plus de plaisir à voir (et participer, bien sûr) Isabelle, si charmante et si réservée, jouir intensément dans les bras d’un bel étalon…
Voilà mon récit et mes fantasmes. Ceux qui sont dans des pensées similaires sont les bienvenus et il est probable qu’ils soient nombreux sur un tel site. L’avis de ces dames serait encore plus intéressant.
Vos impressions, mais s’il vous plait, pas de leçons de morale, on est ici pour rigoler, pas pour juger. Ceux à qui cela ne plait pas ne sont pas obligés de lire…
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Patrick
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- Enregistré le : mer. 4 janv. 2012 11:52
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Re: Trio avec un ami africain
superbe fin d'histoire....
bcp on les meme fantasmes que toi ici... dont moi
et dont la femme n'est pas prete a les realiser....
mais qui sait un jour le moment viendra peut etre
bcp on les meme fantasmes que toi ici... dont moi
et dont la femme n'est pas prete a les realiser....
mais qui sait un jour le moment viendra peut etre
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Re: Trio avec un ami africain
Magnifique récit donc, et bien dans un esprit partagé, surtout l'"pilogue ou j ai cru avoir moi même écrit ce paragraphe
- frenchhubby
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Re: Trio avec un ami africain
merci pour vos encouragements les amis, je suis content que cela vous ait plu! Je trouve que c'est un fantasme sympa et cela m'excite beaucoup l'idée de recommencer ce genre d'expérience, même si je pense que c'est improbable.
- frenchhubby
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- Enregistré le : mer. 18 avr. 2012 18:10
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Re: Trio avec un ami africain
... si vous voulez, je vais vous écrire une suite possible, mais ce ne sera que du fantasme, (pas -encore- concrétisé donc totalement imaginaire), avec ma chérie la douce et timide Isabelle, qu'en pensez-vous?
J'hésite entre la voir soumise aux assauts d'un (ou deux ou trois ?) grand Noir(s) ou bien une partie carrée avec un couple exotique. Que préférez-vous ?
J'attends vos réponses pour me mettre au travail
J'hésite entre la voir soumise aux assauts d'un (ou deux ou trois ?) grand Noir(s) ou bien une partie carrée avec un couple exotique. Que préférez-vous ?
J'attends vos réponses pour me mettre au travail
Re: Trio avec un ami africain
Ce qui gène dans cette histoire c'est le sperme, un coup tu ne veux pas que guy jouisse dans son vagin mais tu lui laisse éjaculer dans son cul ? et puis aussi tu dis que ta femme a plein de sperme dans la bouche, même si on est soi disant au début des années 80, comme une incohérence là je trouve.
- frenchhubby
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Re: Trio avec un ami africain
non mais c'est simplement plus excitant de le voir jouir sur son ventre et l'arroser de sperme
- frenchhubby
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- Enregistré le : mer. 18 avr. 2012 18:10
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Re: Trio avec un ami africain
Merci, c'est sympa, j'en ai une autre, je la posterai peut-être bientôt
- Two4three
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Re: Trio avec un ami africain
Très belle histoire, et joliment narrée, avec talent ! Vive le plaisir partagé !
- albubu
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Re: Trio avec un ami africain
très beau récit je suis dans le meme contexte que toi ayant vue ma femme avec un noir et 2 fois quel plaisir de la voire jouir et le mélange de peau c'est superbe j'aimerai bien revivre c'est aventures mais dommage elle ne veut plus
recherche amant attitré de 30 à 50 ans pour ma femme de 56 ans et la rendre salope et si possible l'initiée au gang bang avec moi qui regarde et peut ou pas participer region manosque elle n'est pas au courant de ma recherche donc un sènario a prévoir
- frenchhubby
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Re: Trio avec un ami africain
Moi aussi j'aimerais bien revivre cette aventure ancienne avec mon actuelle épouse légitime, c'est mon plus grand fantasme et elle le sait mais ne veut pas...très frustrant! Pourtant j'ai trouvé plusieurs candidats sympathiques...