par maestro13 » Dim 11 Juin 2017 17:32
Quand l'heure est arrivée, je file de mon bureau pour me rendre chez Pierre. Je connais de nom sa résidence. C'est une résidence sécurisée de haut standing. Il faut montrer patte blanche. J'arrive devant le portail et je décline mon identité. Le vigil vérifie ma carte d'identité. Il appelle ensuite Pierre qui donne son autorisation. Le portail s'ouvre et je monte jusqu'au numéro qu'il m'à donné. Je me gare et sonne à l'interphone de l'immeuble. Pierre m'ouvre. Je rentre et prends l'ascenseur. Arrivé à l'étage, je sors de l'ascenseur et Pierre m'attend sur le palier. Il me propose d'entrer. Son entrée donne directement sur un immense séjour cuisine et visiblement c'est un duplex au vu de l'escalier qui mène au premier. Il me dit " viens voir ma terrasse et sa vue sur la mer. Nous sortons sur cette fameuse terrasse immense aménagée de plantes, d'un plancher teck façon pont de bateau. En effet, une vue panoramique à180° sur la mer sans aucun obstacle. Sur le côté, un joli salon de jardin avec une toile tendue en Téflon pour ombrager le tout. Un brumisateur se déclanche automatiquement de temps en temps. J'aperçois une femme rousse et je comprends que Sophie est là, sur un des sièges transat. Elle est allongée, le dos légèrement relèvevé. Une jambe allongée et une pliée à 45° laissant glisser sa robe légère et faisant apparaître une jolie cuisse blanche parsemée de tâches de rousseur. A notre approche, elle tourne la tête vers nous et nous scrute au travers de ses lunettes de soleil de grande marque. Puis, Pierre dit " je te présente l'amant de Julie ( sa femme ). Elle me regarde par dessus ses lunettes et me laisse apparaître des yeux verts superbes, d'une clarté presque génante. Elle me tend la main que je lui prend délicatement pour y poser un baiser. Elle me dit " quelle élégance, celà fait bien longtemps que je n'avais pas eu un baise main " en riant avec distinction.
Pierre lui dit " Viens avec nous à l'intérieur, nous allons prendre une coupe de champagne." Elle se lève et nous la suivons. Je peux ainsi me faire une idée du corps de Sophie. C'est une femme d'environ 1m70, un 38 ou 40 de taille, une belle poitrine, je dirais 90 C, comme Julie. Elle est perchée sur de hauts talons d'escarpins couleur fushia. Sa robe en mousseline verte pale enrobe ses formes avec élégance et sensualité. Son décolleté plongeant est tempéré par une veste très légère en voile un peu transparent. Ses cheveux longs lui arrivent pratiquement au milieu du dos. D'un pas élégant et sensuel qui laisse penser que cette femme maîtrise à merveille la marche sur de tels talons, elle se rend au salon et s'assoit sur le canapé en croisant les jambes. Joli spectacle immencable. Elle a bien vu que je suis attentif et elle en rajoute un peu en ajustant sa veste pour orienter mon regard sur son décolleté. Je m'assois en face de Sophie. Pierre se rend au réfrigérateur et revient avec la bouteille de champagne dans un sceau glacé et 3 coupes dans l'autre main. Il verse le champagne et nous tend à chacun une coupe.
La conversation s'engage sur la pluie et le beau temps. Vite, on en vient à parler de Julie. Sophie la décrit comme transfigurée. Elles se connaissent depuis l'enfance. Leurs parents sont amis. Sophie habite dans l'appartement du dessus, c'est elle qui leur a trouvé cet appartement pour qu'ils soient juste à côté. Elles ont toujours grandi comme deux soeurs. Sérieuses, Julie était un peu le modèle de Sophie. Côté sexualité, elles ont eu rapidement un amour unique sans trop d'expériences sexuelles. La seule fantaisie que Sophie se plaît à raconter est qu'un soir de reception des parents, elles avaient échappé à la foule en se réfugiant dans la chambre de Julie, elles avaient 16 ans à l'époque. Et là, Sophie ne se souvient pas exactement comment, elles en étaient venues à ce que Julie lui demande des conseils sexuels et notamment de masturbation. Sophie lui avait montré sur son propre corps puis ensuite, elle s'était mise à caresser sa copine. Elles avaient pris un pied grandiose et s'étaient caressées et lêchées pendant plus d'une heure. Et ensuite, plus rien. Julie ne voulait plus en entendre parler disant qu'elle ne souhaitait plus le refaire et surtout avec Sophie. Et elles n'en avaient plus reparlé ensemble jusqu'à la relance dernière de Sophie. Pendant qu'elle nous racontait tout cela, Sophie semblait nostalgique et troublée.
Pierre nous ressert une autre coupe. Il démande à Sophie comment elle voit la chose afin de réaliser ce désir et renouveler cette complicité sexuelle avec Julie par notre intermédiaire. Elle répond qu'il n'y a qu'une façon de faire craquer Julie, c'est moi. Je lui dit "pourquoi pas" mais comment cette complicité peut-elle m'apporter du plaisir ? Sophie me dit " tu n'as pas envie de me voir la lecher Julie ? " sûre de son charme et du plaisir qu'elle pourrait m'offrir d'un tel spectacle. Je lui dit alors " certainement, mais je souhaite être complice d'elle même et de Pierre " histoire de profiter de la situation. Je continue en disant " tu comprends Sophie, tu as besoin de moi et j'ai bien conscience que sans moi, Julie t'échappera. Qu'ai-je à gagner là dedans ? " . Sophie me regarde droit dans les yeux en disant " Si tu es sage, tu vas aimer. Pour l'instant, tu vas rester dans ce fauteuil sans bouger. Je vais te montrer avec Pierre ce que tu pourrais gagner ". A ce moment précis, elle fait signe à Pierre qui a bien compris que son moment était venu. Il s'approche. Sophie, porte sa main sur la braguette de Pierre et elle me dit " regarde ce que je pourrais te faire..." Elle sort alors le sexe bandé de Pierre et le suce avec une désinvolture en proportion avec la provocation qu'elle souhaitait envers moi. En même temps, mine de rien, elle venait de décroiser les jambes pour me laisser deviner sa culotte fushia. Quand Pierre fût bien dûr, elle se mis en levrette appuyée sur le dossier du fauteuil. Pierre passa derrière elle, souleva sa robe et écarta sa culotte pour mieux l'enfiler. En même temps qu'elle se fesait limer par Pierre, elle me regardait, l'air allumeur. Ses grimaces et ses petits gémissements en disaient long sur le plaisir de la situation pour elle. En me voyant attentif de la scène, elle fit tomber les bretelles de son haut et me fit découvrir le soutien gorge assorti à sa culotte. Pierre, en méme temps que ses vas et vient, d'une main, dégraffe le carcan qui tombe et laisse ainsi pendre sa poitrine lourde et blanche. Je bande à la vue de ce spectacle imposé. Pierre jouie bruyamment en elle. Elle, elle jouit tout en continuant de me regarder, fixement. Pierre ressort son sexe encore fortement bandé du sexe de la rouquine. Elle se lève alors du fauteuil et s'approche de moi, ses seins pointus et provacateurs. Elle tend une main sur ma braguette, constate l'effet souhaité et réalisé. Elle se met à genoux devant moi, entre mes cuisses. Elle dégraffe mon pantalon, sort mon sexe bandé difficilement, à l'étroit dans mon boxer et se met à le sucer. Elle me regarde avec ses yeux verts d'eau. Elle suce tellement bien et le spectacle m'avait tellement excité qui je finis par me vider rapidement dans sa bouche. Elle avale et me dit : " Alors, maintenant, tu vois ce que tu vas y gagner ? " . Je regarde Pierre qui me fait un geste de la tête en me disant " tu vois, tu n'as qu'à y gagner ".
Tout le monde remet sa tenue dans l'état initial. Nous convenons une date à laquelle je dois convaincre Julie d'une baise à quatre. On se quitte la dessus.