Quel honneur,merci! Alors je fantasme...
Décidément bien trop à l'étroit dans son haut moulant...Je lui rajouterais deux pinces à tétons métalliques,bien froides pour la surprendre. Un large et long lien de soie noire à passer sous le fauteuil que je viendrais nouer à chacun de ses poignet afin de lui imposer de rester dans cette position, mais les bras tendus plus écartés. Position quelque peu inconfortable à tenir pour décupler ses sensations. Un bandeau de soie noire glissé sur ses yeux pour qu'elle puisse s'affranchir de toute distraction, avec pour consigne de ne pas se mouvoir...
Une main agile surfant sur son dos, remontant sa nuque, l'enserrant doucement, et finissant par ébouriffer ses cheveux de garçonne. Puis une deuxième main parcourant son corps, foulant le tissu, s'attardant sur les zones plus chaudes, palpant la peau avec délice pour la préparer au plaisir. Faire pendre la chainette qui relie ses tétons sur le bord du fauteuil. Étirer soudain sa culotte affriolante pour la laisser claquer sèchement sur ses cuisses à quelques reprises. Lui faire avouer verbalement pourquoi elle s'est vêtue de façon aussi inappropriée pour son âge.
Pourquoi ce choix d'une lingerie aussi fine, pourquoi sous des étouffes aussi fades. Je voudrais qu'elle avoue être une salope pendant que je travaille son entrejambe avec sa culotte. Un instant serré comme un string entre ses fesses, écartant ses chairs qui deviennent humides. Irritant son entrejambe en remontant fermement et lentement la pièce de tissu jusqu’à la ligne de ses hanches. La sentant se cambrer un peu plus pour suivre le mouvement. L'instant d'après relâchant le tout, tendant sa culotte comme un arc avant de la faire claquer sur ses cuisses. Une alternance lente, quelque peu gênante, ponctuée aléatoirement par une claque appuyée sur son cul déjà rougi... La belle se tortille gentiment sans se souvenir de la consigne...
Des caresses à nouveau sur son dos. Et soudain une sensation aiguë de douleur, puis de brûlure. Alors que goutte la cire chaude au creux de ses lombaires puis sur le haut de ses fesses. Toujours soumise à sa position, elle ne peut que se cambrer plus ou moins pour diffuser la douleur. Une petite masse est alors rajoutée à la chainette, étirant davantage ses tétons alors que je lui mordille l'oreille en lui demandant de rester sage. Un tressaillement étire sa bouche d'un côté.
Une large roulette métallique au barillet hérissé de pointes affutées se ballade alors depuis la jonction du goutte en remontant lentement et par à-coups sur le dessous du bras. Passant par les zones cutanées les plus sensibles jusqu'à rejoindre le dessus de son épaule. Puis l'autre côté. Madame se mord maintenant les lèvres pour contenir son agitation.
La pièce de métal se promène sur le haut de son dos, où coulent en alternance quelques gouttes de cire chaude. La sensation des pics sur ses flancs lui arrache de frustrés soupirs. Désormais contraint de slalomer entre les cachets de cire, l'outil métallique ripe parfois sur un amas qu'il décolle sans retenu d'une peau tiraillée.
C'est quand il rejoint le haut de ses fesses déjà malmenées par les claques et la cire que Madame se met à dandiner sans plus de contrôle, la respiration haletante dans l'inconfort toujours croissant de sa position. Elle écarte les genoux pour mieux se stabiliser. Sautant jusqu'aux chevilles, l'outil lui répond après une caresse dans le cou. Il remonte lentement sur ses mollets puis l'arrière de ses cuisses avant de s’immiscer sur leur face intérieure. Madame se crispe d'appréhension, a t-elle raison? Une petite masse est de nouveau ajoutée à la chainette qui enflamme les tétons.
Nouvelles caresses sur son ventre et sa nuque, son visage. Madame demande qu'on lui fasse du bien. Un profond relâchement accompagne la sensation de sa culotte qui glisse puis roule sur ses fesses et vient se coincer à mi-cuisses, les resserrant fermement tout en s’enfonçant dans sa peau molle. Ses yeux et sa bouche s'ouvrent grands quant une forte énergie éclot dans son anus. Les premiers en quête de lumière, la seconde cherchant vainement à capter plus d'air frais. Le flot continue de cire en fusion ruisselle de sa rondelle étoilée jusqu'aux frontières de sa vulve, se sépare en deux en se refroidissant sur les grandes lèvres d'où quelques gouttes s'échappent pour finir sur le sol. Le petit barillet meurtrit délicieusement l’intérieur de ses cuisses à proximité de la vulve. Longues minutes qui s'enfuient...
Le corps tremblant, une partie de ses muscles frôlant la tétanie, madame s'écroule sur ses épaules, stimulant davantage ses chairs étirées à la fois par les liens de soie,la culotte et la cire refroidie. Elle ne demande plus mais supplie, d'un soupir. qu'on la finisse, qu'on la prenne. Jouant avec la chainette d'une main, passant le barillet d'une de ses fesses de l'autre, je lui demande pourquoi on accepterait. La poussant dans ses retranchements je lui fait avouer : "Parce que je suis.. une salope! Je veux qu'on me baise! Maintenant, je veux jouir!" . Je rajoute: " mais on nous regarde..." avant qu'elle ne réponde "je sais je suis une vraie garce j'aime cela..."
Je lui retire alors le bandeau qui masquait ses yeux. Éblouie, elle finit par percevoir le regard médusé de son mari au coin de la pièce. Le temps que les regards communiquent sur toute l'intensité de la scène, j'apporte au mari un miroir afin qu'elle puisse lire à la fois le plaisir de son homme et la dépravation à laquelle elle s'adonne.
"Bien salope je vais consentir à tes désirs. Fixe donc ton mari pendant ce temps". D'un petite racloir plastique, je retire la cire sur sa peau, m'attardant sur ses fesses et au niveau de son entrejambes de nouveau luisant. Jouant avec la chainette je m'accroupis pour déguster longuement sa vulve et pointer de ma langue son anus. En réponse à ses soupirs,j'intensifie mes mouvements. Lorsque surviennent ses premiers gémissements je m'arrête brutalement. "Continue, c'est bon, s'il te plaît..." dit-elle. Je lui fais comprendre qu'un anneau est un anneau, symbolisant un lien avec une autre personne. Que je ne m'occupe que des salopes qui me sont liées, à moi seulement. M’étendant sur son dos, je lui maintien fermement mais délicatement les cheveux et la tête en arrière pour la forcer à se cambrer. Avant de lui glisser à l'oreille, suffisamment fort pour que le mari entende : " Si tu veux que je te baise, crois-mois, tu dois être ma chienne. Retire toutes tes bagues et place ton alliance entre toi et ton mari pour lui signifier à quel point tu es salope." La tension est palpable alors qu'elle s'exécute. "c'est bien, maintenant je vais te mettre ce collier de cuir pour chienne, acceptes-tu?". Son "oui" profond résonne dans la pièce juste avant que ne sonne le cliquetis du fermoir.
...
Voilà ce qui arrive quand je fantasme Vick' ! Tu l'as bien mérité. C'est ce que ta femme m'inspire et 'c'est comme cela que je la baiserais pour une première. En espérant que tu bandes bien dans ton pantalon!
Je vous laisse imaginer la suite mes chers amis pervers...
Au plaisir de partager davantage,
PP