Tout d'abord merci à toi pour les compliments ainsi qu'à grossetalon et à marilope
Concernant le fait d'offrir ma femme à mon vieux queutard, tu te doute que si je suis sûr ce forum,c'est qu j'en ai le désir ardent. A tel point que quand je fais l'amour avec elle, je ne parviens à atteindre l'orgasme qu'en l'imaginant, lui, se vider dans son con
Ma femme est, ou du moins était, très ouverte en matière de sexualité entre UN homme et UNE femme. Avant d'être parents, elle ne me refusait pas grand chose hormis son petit trou. Et toute forme de pluralité. De mon côté, je n'étais pas toujours très à l'aise quand nous réalisions mes fantasmes. C'est pour moi bien plus difficile de me montrer pervers devant ma femme que devant un autre pervers. Je me suis senti conne quand elle m'a prise avec un gode ceinture, tout comme je me suis trouvé conne quand elle a accepté de me pisser dessus pendant que je la léchais dans la baignoire. Excitée à mort mais conne
Un blocage débile de ma part alors que j'assume parfaitement qu'elle me suce la rondelle ou me la doigte toute en me suçant.
Quand elle a bien voulu que nous fassions l'amour toutes les deux en fille, elle m'a avoué avoir détesté. Elle avait pourtant bien déliré de me voir travesti mais passer à l'acte ne lui avait tout simplement pas plu du tout. Sur ce point, bien que très déçu, je peux la comprendre car, n'étant pas moi même attiré par les femmes peu féminines (quoique...), j'admet qu'un homme dévirilisé par une tenue féminine puisse sexuellement la rebuter. Bref, elle trouve mes fantasmes pour le moins étranges mais accepte de me faire plaisir. Sauf quand je lui parle d'introduire une tierce personne, elle met un terme la discussion en m'assénant un "jamais de la vie!" d'un ton indiscutable. Et à ce jour, j'ai été incapable de lever les verrous qui nous auraient permis d'évoluer vers le candaulisme. Le pire c'est que je sais être la principale responsable de cette situation. Par honte, par lassitude, par un quotidien surchargé, parce que j'ai fini bêtement par baisser les bras. A une époque je pensai être sur le bon chemin.
Elle acceptait les photos osées
nous allions sur les plages naturistes ou elle n'hésitait pas à me faire remarquer certains mecs qui avaient la bite aussi grosse au repos que mon clito bandé à fond. Même constat (en pire!) quand nous regardions du porno. Toutes ces situations me laissaient entrevoir un avenir bien lubrique puis elle a voulu devenir mère et là, tout s'est arrêté net question sexualité un tantinet hors norme. Désormais c'est toujours à peu près la même chose: préliminaires pour la chauffer durant lesquels elle prend vite son pied après que j'ai entrepris de lui titiller le clito. Ne souhaitant pas essayer d'atteindre un nouvel orgasme, elle se dépêche de me sucer en 69 pendant que je frotte mon visage contre sa vulve aux lèvres gonflées et toute gluante de sa jouissance.
Je suis plus ou moins longue à venir, selon ce à quoi je me met à penser...Elle ne reçoit pas en bouche et laisse donc ma jute se répandre sur mon ventre. Puis sopalin, bonne nuit, dodo...
De mon côté, j'ai toujours eu des penchants pour le port de lingerie féminine qui ont évolué vers le travestissement. Mes fantasmes avec les hommes sont présents depuis l'adolescence mais je ne les ai concrétisés que sur le tard, à 38 ans. Depuis, dur dur de m'en passer même si j'arrive parfois à m'abstenir pendant quelques mois. Et, à force de déception de ne pas être capable d'aider ma femme à devenir une authentique coquine chaude comme la braise, j'en suis donc moi même devenu une, le temps de furtives rencontres avec mon amant attitré. Ah si seulement ma femme était naturellement moitié moins salope que je ne sais l'être! Comme par exemple ici où, à genoux, mon clito de lopette chaste recouvert de la capote dans laquelle mon vieux Monsieur vient de se vider les couilles, j'attends patiemment qu'il m'offre de quoi étancher ma soif de perversions: