par Gentleman Biker » Sam 9 Jan 2021 17:21
Cette histoire aura une suite ... à l'automne !
En attendant ,ce printemps ,nos rencontres continuent ,nouvelles têtes ,nouvelles queues ,et deux soirées entre couples ,dont celle de mon anniversaire avec nos amis .
Je ne vais pas me répéter ,vous connaissez le programme de nos réjouissances ,ça devient monotone ,vous ne trouvez pas ?
Les dimanches ,quand il fait beau ,c'est le rendez-vous à la Lagune ,ou on retrouve les mêmes couples depuis des années maintenant ,pas tant que ça de nouveaux couples .
Des mecs en revanche ,ça il y en a toujours des nouveaux ,et heureusement ,ça nous permets de finir nos après-midi dans la dune ou le sous-bois .
Mais régulièrement on tombe sur des réfractaires ,Cécile se demande si son sex-appeal ne commence pas à décliner ,c'est surtout qu'il y a de plus en plus de gays sur cette plage naturiste .
Les vacances d'été approchent et seront les bienvenues ,au Cap ,on ne change pas nos bonnes habitudes ,là au moins on est sûr d'avoir l'embarras du choix ,et c'est tant mieux parce que ces derniers mois on est tombé dans la banalité .
Cette année encore nous partons avec Arthur et Martine ,ils nous rejoignent la veille à la maison ,nous ferons la route ensemble .
Cécile en voiture avec Arthur et Martine avec moi .
Bien évidemment Arthur ,pousse au crime ,fait Cécile s'exhiber ,et il n'y a pas besoin de la pousser beaucoup .
On se double ,se redouble ,les filles montrant leurs seins ou leurs culs aux fenêtres .
Bien sûr ,ça ne tarde pas ,lorsqu'il double un camion il la fait s'exhiber ,ce qui ne manque pas de provoquer coups de klaxons ,et appels de phares .
Nous qui suivons ,quand on arrive à la hauteur des cabines Martine fait de même sans que je ne lui demande rien .
Alors que j'ai pris la tête du convoi ,je double un autre camion ,Martine recommence son petit jeu ,je reste un moment à sa hauteur ,moi je ne peux pas le voir mais Martine me dit ,si il continue comme ça il va tomber par la fenêtre .
Je fini par le doubler ,appels de phares ,clignotants comme s'il voulait s'arrêter .
A ce moment une pancarte : aire de repos à 1500 m .
Martine : si on s'arrêtait ,je suis sûr que ça va plaire à Arthur ,resté derrière .
Je m'arrête sur l'aire de repos .