par Simone » Mer 27 Jan 2021 12:26
Draguée comme une pute dans un centre commercial
Juste un autre récit d’une de nos rencontres originales.
Beaucoup vont penser qu’il s’agit d’une pure invention.
Il n’en est rien et nous n’avons pas inventé le moindre détail.
Seul Damien (nom d’emprunt) qui est maintenant responsable d’une grande agence bancaire à l’étranger, pourrait en témoigner, mais lui aussi garde pour lui ses bons souvenirs.
Nous sommes restés en très bon contact.
Il nous arrive parfois d’échanger des vœux de bonne année, sans plus.
Pour lui comme pour nous, recevoir une simple carte de vœux n’a jamais véhiculé autant de sous-entendus et de charmants souvenirs, sans qu’il soit besoin d’en dire plus.
Merci au confinement de m’avoir donnée l’occasion, avec la grande complicité de mon mari, de déterrer, avec émotion et excitation, tous ces chouettes souvenirs.
Ceux qui croiront malgré tout qu’il s’agit d’une fiction tant cette histoire est belle, eh bien tant pis pour eux.
Si ce récit réel pouvait inciter d’autres à utiliser leurs heures de confinements pour faire remonter à la surface, comme nous, leurs plus beaux souvenirs, ce serait sympa.
Nous aussi pourrions prendre beaucoup de plaisir à les lire.
Portez-vous bien et prenez soin de vous.
Voici le récit en deux parties.
Le récit de Simone
Je commence cette courte histoire et mon mari continuera.
(J'ai relu tout ce quil écrit,
ne vous inquiétez pas !
Je lui ai même rappelé quelques détals qui auraient pu lui échapper)
Je fais mes courses dans un hypermarché du quartier du Sillon à Nantes.
J’ai l’impression d’être suivie pendant mon parcours dans les rayons.
Après avoir rangé mes achats dans le coffre de ma voiture,
je retourne dans la galerie commerciale pour acheter un magazine de voyages sur le Japon et je me m’assois dans un café de la galerie pour le feuilleter après avoir commandé un chocolat.
Je ne fais pas attention à un bel homme qui vient de s’asseoir à la table voisine.
Je suis surprise quand il me demande s’il peut se mettre à ma table et comme je n’ai pas dit non, il déplace son café et s’installe.
Amusée, je l’entends me dire qu’il est cadre bancaire en région parisienne, actuellement en stage à Nantes pour un mois.
Toujours plaisant de voir venir un dragueur et de se demander quand et comment il va attaquer.
Je savais bien que cela n’irait pas plus loin et c’est toujours plaisant pour une femme de mon âge que de se faire baratiner par un homme plus jeune, surtout un beau gosse bien foutu avec un très beau visage fin et de magnifiques yeux gris.
Il me dit s’appeler Damien et comme prévu commence par me flatter sur ma belle silhouette.
Je le voyais venir.
Un moment il essaye une diversion sur le contenu du magazine que je lisais, mais cela ne dure pas.
Il semble gêné et me dit à plusieurs reprises qu’il a quelque chose à me demander.
Il tourne autour du pot pendant un certain temps, en me parlant de ses dernières copines qu’il a quittées à cause de leurs multiples défauts.
Puis il revient à la charge en me disant encore qu’il n’ose pas me dire ce qu’il désire le plus.
Il me fait promettre de ne pas me fâcher de sa demande.
En rigolant je lui dis que s’il ne s’agit pas de cambrioler une banque, je suis prête à tout entendre !
Je le vois venir avec ses gros sabots.
Mais je ne pensais pas avoir à entendre un jour ce qui allait suivre.
Il commence par me dire qu’il avait eu le coup de foudre et qu’il voulait passer une nuit entière avec moi.
J’ai fait non de la tête en souriant et je lui ai dit que je ne quittais jamais mon mari (ce qui est d’ailleurs vrai !).
J’étais bien assise quand il continue en me précisant que ce qu’il me propose c’est une rencontre vénale et que mon prix sera le sien.
Je reste sans voix pendant un long moment, scotchée à mon siège, assommée par ce que je viens d’entendre qui me choque au plus haut point.
Ne voulant pas faire un esclandre en public, je prends mes affaires, laisse la monnaie pour mon chocolat et me lève outrée, en lui disant fermement qu’il y a erreur et que je ne suis pas une pute.
Il avait prévu le coup et tandis que je pars il me répète doucement que mon prix sera le sien et il me glisse une carte de visite dans les mains que je n’ose pas refuser.
Une fois de retour à la maison, j’ai mis un certain temps à me calmer et quand mon mari est rentré je lui ai tout raconté en lui donnant la carte du Monsieur.
J’étais encore énervée de cette aventure et il s’est mis à se marrer, ce qui nous a fâchés pour la soirée.
Nous n’avons pas de besoins financiers et cette situation m’avait humiliée.
Le récit de Michel
Le lendemain, pendant le déjeuner, Simone m’a relancé sur son aventure de la veille en voulant me faire prendre parti.
Je lui ai répondu d’abord que s’il ne lui avait pas proposé de rétribution, on en serait peut-être à reprendre contact avec cet élégant Monsieur et elle acquiesça.
Mais j’ai continué à la titiller en lui demandant si elle avait une idée de ce qu’il aurait été prêt à dépenser pour passer une nuit avec elle.
Je me suis fait jeter pour cette remarque stupide, mais j’ai bien vu que la question commençait doucement à s’infiltrer insidieusement dans sa tête.
J’ai laissé la situation en cet état pendant toute la journée, sans insister.
Le soir je lui ai dit en plaisantant qu’elle me faisait penser à Catherine Deneuve dans « Belle de Jour », ce qui m’a encore valu un regard sombre et noir.
Un jour après, elle me relance, en me demandant ce que j’aurais fait à sa place et je commence par lui dire que je n’ai jamais eu la chance d’avoir de telles propositions !
Nouveau regard glacé.
Je lui dis qu’il n’y avait qu’une seule solution, c’est de lui proposer une rencontre non vénale, et d’en profiter pour savoir jusqu’où pouvait monter son intérêt pour elle. J’ai tout de suite vu qu’elle aimait cette solution, car c’était la seule permettant de ne pas perdre l’estime d’elle-même tour en satisfaisant sa curiosité féminine de savoir combien elle valait.
(je n'ai pas rajouté combien elle valait sur le marché des matures
car celà aurait été un casus belli !)
Vingt-quatre heures après, c’est elle qui me chargeait de négocier !
Le monsieur au téléphone est charmant quand je me présente comme le mari de la dame à qui il a fait une proposition un peu spéciale dans un café de la galerie commerciale du Sillon.
Il me présente ses excuses si cette proposition a choqué mon épouse.
Il me demande s’il pourrait me rencontrer pour m’expliquer et nous prenons rendez-vous dans un café beaucoup plus discret du centre de Nantes.
Damien est un homme charmant.
Il me dit qu’il est fils unique d’une famille assez aisée, qu’il a fait HEC et s’ennuie un peu pendant son stage bancaire à Nantes.
Il a un rapport assez distant avec l’argent.
Il a suivi Simone pendant qu’elle faisait ses courses et s’est mis à fantasmer sur son corps de bourgeoise mature, d’où sa proposition.
Je lui parle de notre couple et de nos rencontres candaulistes en lui disant que s’il n’y avait pas eu de référence à la vénalité tout aurait pu très bien se passer.
J’insiste en disant que nous vivons bien et que nous n’avons pas de besoins financiers.
Il comprend tout ceci, mais reste un peu déçu car il veut, pour une fois, se payer une belle femme et en faire sa chose à lui pour une nuit entière, même en présence de son mari voyeur.
Je lui demande s’il veut lui faire subir des sévices et il rigole en me disant que ce qu’il veut juste c'est une belle nuit d’amour.
Il aime bien avoir une petite cravache, mais c’est surtout pour caresser les formes.
Je respire car je connais l’aversion de Simone pour le bondage, le sado et toutes autres pratiques hard.
On avance.
J’ai ma petite idée sur la façon de résoudre le second problème que j’expose à Damien.
Il s’agit pour lui de donner à Simone un chèque au porteur avec la somme qu’il estime correcte pour la prestation.
Au moment de partir, elle détruira le chèque après en avoir lu le montant.
Ainsi tout le monde gardera sa fierté et son estime de soi.
Il me dit que cette solution lui convient et me donne alors la somme qu’il comptait inscrire sur le chèque.
Je suis sidéré par le chiffre, c’est absolument énorme.
Mais il va encore plus loin en me disant que la confiance règne et que dans notre arrangement, il va encore tripler le montant !
So rapport à l'argent lui permet ce genre de fantaisie.
Il dit aussi que, comme le chèque sera détruit, il va s’occuper de trouver un cadre idéal pour cette rencontre que nous fixons au week-end suivant et nous nous quittons en amis mais aussi un peu en complices.
Le samedi arrive.
Simone a validé le scénario.
C’est elle qui détruira le chèque devant lui, en fin de soirée après en avoir lu le chifre.
Elle aime l’idée, mais je ne lui ai pas donné le montant.
J’ai prétendu qu’il ne m’avait pas donné la somme.
Je ne lui ai pas dit que Damien est dans le secret et elle pense qu’il croira pendant toute la soirée que son chèque sera bien encaissé.
Que de pieux mensonges !
Les indications de notre ami sont claires.
On voit que c’est un bon organisateur.
Il a réservé une suite au Castel Marie-Louise à La Baule.
Il nous y attendra à 20h. Un léger repas sera disponible dans la chambre.
Le samedi Simone se lève tard et passe le reste de sa journée à se préparer : coiffure, assouplissant de corps, ongles, rouge à lèvres, taille ticket métro de sa petite toison, parfum, etc.
Nous arrivons à l’heure et passons par la réception en nous dirigeant vers la suite de luxe du second étage avec vue sur la mer.
Damien a prévenu de notre arrivée.
Le type à la réception n’est sans doute pas dupe, mais son boulot c’est d’être discret.
Nous entrons dans une suite de 40m2 avec deux balcons donnant sur la mer.
Il y a un grand lit, un grand dressoir et trois fauteuils très luxueux où Damien nous invite à nous asseoir devant un petit en-cas déjà servi avec coupes de champagne.
Une demi-heure après, les présentations étant faites, il débarrasse la table et sur un plateau, il dépose un chèque en demandant à Simone si cela lui convient.
Mon épouse jette un œil et blêmit en voyant le chiffre et me jette un regard étrange.
Il y a un grand silence.
Damien lui demande si ce sera suffisant pour une nuit de volupté.
Simone bafouille qu’elle espère être à la hauteur de la prestation et Damien sourit en lui proposant de visiter la salle de bains de la suite pour se rafraichir.
J’écarte mon fauteuil vers le fond de la suite et je me fais aussi discret que possible.
Ma femme sort de la salle de bain et se dirige vers notre ami qui l’attend.
Ils se regardent et se jaugent.
Comme d’habitude elle n’a pas beaucoup innové dans son habillement de bourgeoise mature, avec son classique tailleur gris rayé, ses escarpins noirs, son chemisier blanc et sa petite veste bleu clair pour ce qui est visible.
Ils se font face apparemment un peu gênés.
Simone a les deux mains derrière le dos es se balance d’un pied sur l’autre, signe d’une évidente nervosité.
Lui, la regarde les yeux dans les yeux sans rien dire.
Comme mon épouse a des talons assez hauts, ils sont exactement de la même taille et s’évaluent à dix centimètres l’un de l’autre.
L’homme saisit une cravache en cuir souple qui était posée à côté du plateau contenant toujours le fameux chèque et pointe vers la veste de Simone.
Il lui demande si elle est toujours d’accord pour être à lui toute la nuit, contre la « petite » compensation.
Elle répond clairement que c’est la première fois qu’elle se vend et que le prix proposé donne à Damien le droit de faire tout ce qu’il veut d’elle jusqu’au petit matin.
Elle accepte donc.
Il touche sa petite veste de sa cravache et lui dit, en signe de son accord sur le contrat, d’enlever sa veste.
Elle s’exécute et lui répète « je suis à toi maintenant ».
Elle est debout stoïque.
Il tourne autour d’elle en caressant ses formes du bout de sa cravache.
Ses yeux gris sont hypnotisants.
Il donne des tout petits coups de cravache sur ses fesses et avec le bout relève un peu le bord de sa jupe, comme le ferait un maquignon avec une jument à la foire.
Il lui dit de se tourner devant lui et rentre le bout souple de la cravache entre deux boutons du chemisier et pousse à l’intérieur.
D’une voix forte il dit alors combien il est heureux pour la première fois de sa vie de « se taper une pute ».
Ouch !
Il a choisi le mot qui fait mal, "pute".
Simone sursaute comme si elle avait reçu vrai un coup de cravache cette fois.
Elle me regarde d’un air interrogatif.
Je m’imagine ce qui se passe dans sa tête en ce moment.
Il a choisi le mot de pute volontairement pour la provoquer.
Mais finalement elle se soumet en continuant debout à tourner devant lui.
On est passé près de l’incident diplomatique !
Ils se font maintenant face et il lui demande d’ouvrir trois boutons de son chemisier, puis de sortir ses seins par-dessus les bonnets.
Les seins sortis du soutien-gorge pointent fièrement.
Il caresse les tétons du bout de sa cravache et elle se redresse d’un air provocateur, ayant retrouvé un peu de son superbe après l’épisode précédent.
Mais j’ai l’impression que la mise en condition n’est pas encore entièrement terminée.
L’homme l’invite maintenant à se mettre à genoux sur l’un des fauteuils.
Elle est penchée en avant et s'appuie sur le dossier.
Il caresse sa croupe du bout de sa cravache.
Puis il passe de l’autre côté et donne encore des petits coups de cravache sur ses seins qui pendent maintenant.
Il lui demande de remonter sa jupe.
Puis de glisser son slip tanga sur ses cuisses, au-delà du porte jarretelles.
Il a une vue splendide sur son abricot et sur son petit anus brun et étoilé.
Très fortement il dit alors clairement qu’il a envie de bien évaluer ce qu’il a acheté pour la soirée.
Elle tique encore mais un peu moins fort.
Il promène le bout de sa cravache depuis son abricot, jusqu'à son petit trou du cul.
Il veut visiblement aller encore plus loin.
Il lui demande d’écarter ses fesses de ses deux mains pour qu’il puisse mieux la voir.
Elle hésite un peu, puis s’exécute.
Il continue à promener sa cravache de sa chatte à son anus entrouvert et le frotte à cet endroit.
Il joue alors sa prochaine carte en lui demandant de dire qu’elle est une putain.
Elle refuse net.
Il lui redemande de dire qu’elle est une pute qu’il a acheté pour la nuit entière.
Elle refuse encore.
Alors il déplace un autre fauteuil et s’assoit devant ce spectacle des fesses toujours écartées.
Il lui dit qu’il comprend bien que ça la gêne d’être une prostituée, et que si elle veut interrompre la soirée, elle peut encore tout arrêter maintenant.
On se quittera bons amis rajoute-t-il.
Elle reste immobile comme sonnée dans cette position humiliante.
Un silence de quelques minutes.
Tout doit se bousculer en ce moment dans la tête de ma belle.
Elle ne sait pas que faire.
Et soudain elle se décide et se met à parler en lui disant qu’elle est une prostituée et qu’elle accepte de se vendre à lui pour toute la nuit.
Je suis ta pute, fais de moi ce que tu veux ajoute-t-elle.
Oui je fais, moi aussi, la pute pour la première fois de ma vie, fais-moi tout ce que l'on fait à une prostituée.
Tu as acheté une putain, profites-en comme tu veux pour toute la nuit.
Je suis ta chose.
Elle a complètement craqué.
Quel merveilleux joueur de poker !
Son comportement à lui change alors du tout au tout.
Il la relève et la prend dans ses bras.
Il a manipulé son smartphone qui diffuse maintenant une musique langoureuse.
Ce n’est plus le même homme.
Il l’embrasse tendrement en dansant.
Simone quitte un homme dur et cynique pour trouver un galant plein de tendresse pour elle.
Elle se laisse faire et ne doit plus savoir où elle habite !
Elle laisse maintenant sa tête aller sur son épaule et semble s’abandonner à lui dans un geste de tendresse.
La situation a complètement changé.
Sa jupe s’est rabaissée.
Ses seins sont toujours sortis mais il lui repasse sa veste et ils s’en vont tous les deux sur le balcon face à la mer.
Il fait bon même si la soirée avance.
Ce sont deux amants qui regardent les étoiles.
Ils se parlent doucement maintenant et je ne comprends pas tout ce qu’ils se disent.
Quand ils rentrent ce sont deux amoureux transis et après avoir fermé la fenêtre du balcon, ils s’allongent côte à côte sur le lit, sur le dos, en s’embrassant, encore tout habillés.
La seule trace des évènements précédents est la poitrine de Simone, toujours sortie des balconnets, sur laquelle les mains de son amant se promènent de façon caressante.
Ils s’amusent et j’entends leur conversation.
Il l’appelle ma petite pute et maintenant ça la fait rire !
Bravo !
Il lui demande ce qu’elle pourrait faire de mieux pour satisfaire son client.
Elle lui dit qu’elle fera tout ce qu’il veut.
Mais ce que je veux c’est que tu me proposes les choses les plus osées qu’une pute comme toi sache faire.
On a tout notre temps jusqu’au petit matin.
Ils continuent à s’embrasser.
Après avoir joué le cynique et le directif, il joue maintenant l’ado timide qui se laisse faire par la bourgeoise mature et initiatrice.
Quel acteur !
La soirée est pleine de rebondissements.
Je pense que Simone n’a pas encore compris qu’il veut se laisser faire et qu’il restera sur le lit à l’embrasser tant qu’elle ne prendra pas d’initiative.
Comme elle ne prend toujours pas d’initiative, il lui dit de lui faire le truc le plus excitant qu’une pute sache faire à son client.
Je crois que là elle a compris car elle lui enlève son pantalon, puis son boxer.
Il ne lui reste que sa chemise déboutonnée.
Il est maintenant plus de minuit, Simone va jouer à la pute, c’est parti.
Elle se fait entendre en lui disant que s’il veut en avoir pour son argent il va en avoir pour on argent et le bascule sur le dos, sur le lit.
Elle est comme une lionne, les seins sortis du chemisier mais autrement encore habillée et en talons.
Elle embouche son sexe tout en malaxant ses couilles.
Il se laisse faire comme une poupée.
Elle lui dit que s’il veut savoir ce qu’est une pute, il va bientôt le savoir.
Elle lui prend la bite dans la main gauche, en serrant fort, mais sans le branler.
De sa main droite elle soulève ses testicules en lui demandant s’il aime être léché là, derrière, où la peau est plus souple et elle passe sa langue sur l’arrière des couilles.
Elle lui demande s’il en veut encore et il gémit en guise d’approbation.
Elle lui lèche le périnée et lui demande si le client de la pute est satisfait ou s’il en veut encore plus pour son argent.
On entend alors la voix suppliante de Damien qui demande encore plus.
Alors la langue de Simone plonge vers son anus et, après plusieurs passages, tente de s’enfoncer un peu.
Elle lui demande s’il aime et il répond par un grand OuiOuiOuiOui, encore.
Elle lui demande si on lui a déjà fait ça et comme il répond par la négative, on voit que Simone a repris le contrôle de la situation.
Demande gentiment à ta pute de t’en faire encore plus dit-elle.
Et il dit oui, s’il te plait, continue ma petite pute, plus loin et plus longtemps.
Sa main gauche coulisse doucement sur sa verge en érection, mais doucement pour ne pas le faire gicler prématurément.
Le bout de sa langue se fait dur et lorsqu’elle le peut, elle le nargue en lui disant que sa pute va l’étonner.
Elle lui donne alors une grande claque sur les fesses et le fait basculer sur les genoux.
Il est étonnamment docile et la langue de la belle reprend du service entre ses fesses.
Sa main gauche reprend le tour de sa verge et fait de lents coulissements comme ceux d’une fermière trayant une vache.
Quand elle prend un peu de recul elle lui demande s’il est content de sa pute si bien payée.
Elle est comme une lionne, les seins sortis et s’occupant de l’arrière-train de Damien, avec une main qui écarte ses fesses et sa langue qui essaie de forcer un passage dans son anus.
Lui semble un peu paralysé et ne bouge plus en espérant que ce délice, qu’il découvre ce soir pour la première fois, continue le plus longtemps possible.
Il est plus d’une heure du matin.
Elle a gagné le set et semble vouloir conserver l’avantage pour le reste de la partie.
Elle s’adresse maintenant à moi et demande à son cher mari de lui sortir un préservatif pour son amant.
Je m’exécute mais elle garde la capote dans sa main.
C’est donc elle qui est au service et elle prend toutes les initiatives.
Il se lève et elle le tient par la verge toujours raide en l’entrainant vers la salle de bains, devant le lavabo.
Ouvrant le robinet, elle fait en même temps couler du savon liquide en lui disant que la pute va maintenant laver la quéquette de son client pour respecter les conventions classiques d’hygiène.
Elle se venge en se moquant de lui.
Elle savonne sa verge, ses couilles et d’un geste assez brusque plonge son index dans son anus en lui disant que le massage de prostate est un extra offert par la maison qui ne lui sera pas facturé !
Il est tellement ébahi qu’il ne dit rien car elle lui renvoie maintenant la monnaie de sa pièce.
Je suis fier de mon épouse.
Elle lui a enfilé la capote et l’a poussé assez brutalement sur le lit.
Elle enlève son slip tanga (qu’elle avait remis), soulève sa jupe et vient s’empaler en lui faisant face.
Elle continue à le narguer en lui disant de ne pas bouger, que c’est elle qui va faire tout le travail et que ça aussi c’est compris dans la prestation.
Elle a les seins à l’air qui ballotent et ses mouvements coulissants de bassin ne lui laissent pas longtemps avant qu’il ne décharge.
Elle triomphe.
Il est battu et tandis qu’ils sont allongés côte à côte sur le lit, un petit baiser de Damien sur sa joue vaut reconnaissance de partie perdue pour lui.
Il a trouvé finalement à qui parler.
La paix des braves s’en suit et ils restent allongés sur le lit à parler de tout et de rien pendant ce qui me semble durer des heures.
Le petit matin arrive et je commence à m’ennuyer.
C’est à ce moment que Simone lui demande, s’il lui reste quelques forces, un « dernier coup pour la route ».
Dernier remerciement ou vengeance de femme ?
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire elle est à genoux et lui murmure que sa pute lui demande de lui rendre les mêmes caresses qu’elle lui a offertes.
Il se met à la lécher, de sa vulve humide à son anus et je viens discrètement poser un préservatif sur le lit.
Damien a repris de la vigueur, plonge sa verge revigorée et enveloppée dans sa chatte, et cette folle levrette lui donne le sentiment de reprendre le contrôle de la situation.
Il la domine et la chevauche comme un forcené qui se venge et au bout d’un moment on entend un grand cri de jouissance de Simone qui provoque l’éjaculation de son amant.
Simone se retourne et lui dit d’un air coquin que la pute attendait une sodomisation comme bouquet final.
C'était prévu dans la prestation dit-elle !
Damien a définitivement perdu la partie.
Il n'a plus la forme pour profiter de la dernière prestation et cette diablesse de Simone le savait évidemment !
Tout le monde se rafraîchit et s’habille.
Damien appelle le 'room service' pour un petit déjeuner matinal que l’on prend sur la terrasse.
On y a poussé les trois fauteuils.
Simone a pris le chèque qu’elle a mis dans son sac sous les yeux de Damien, qui se demande quoi en penser avec un peu d'inquiétude.
Damien nous dit que nous pourrons partir maintenant parce qu’il restera pour le 'check out' avec la réception.
Nous sommes debout sur la terrasse et nous nous sommes fait la bise.
C’est alors que Simone prend un briquet dans son sac, sort le chèque de Damien, y met le feu, le fait entièrement brûler et ne laisse partir au vent du large que quelques cendres.
Ce fut un moment très fort.
En rentrant de La Baule à Nantes je demande à Simone si elle ne regrette pas sa soirée.
Elle me dit que c’est la meilleurs soirée qu’elle n’a jamais vécue et que de savoir combien elle vaut pour un inconnu lui a donné une belle confiance en elle.
Je lui fais quand même remarquer qu’elle vient de brûler un chèque qui lui aurait permis d’acheter une belle petite bagnole pour frimer.
Elle me répond en me demandant si je la vois conduire une bagnole qu’elle aurait gagnée avec son cul.
Tout est dit.
Je n’ai jamais été aussi fier de ma petite femme que ce matin-là.
Nous sommes un couple candauliste complice actuellement confinés.
Plus de rencontres donc, mais nous essayons de nous faire de nouveaux amis pour "après".
Pas VIP, donc laissez des réponses dans les forums et on essayera de répondre.