OUI, les mots (candaulisme, cocu, amant ou 'compagnon de jeux, ..) sont compris/vécu différemment.
En ce qui me concerne, je fréquentais (1989) un couple quadra (Elle soumise/ Lui passif concepteur des scénarii): la confiance était installée & ils invitèrent une quinqua soumise qui devint ma compagne et soumise (raccourci rapide). J'avais 35a.
Ne voulant pas enfiler les bottes d'un autre, j'ai établi "nos" règles du jeu ("nos" = les miennes, mais convenues, adaptées & acceptées par L);
=> pas de mesures de contraintes, de domination physique
=> mais domination douce, suggérée laissant la soumise décider de son choix mais domination douce motivée par son comportement.
Cette soumise, habituée aux mots hards, aux insultes ou à être utilisée fut contrainte de devenir une apparente épouse bcbg (Elle avait alors 49a, moi 35).
Guidée, elle devint BCBG ... je lui ai offert des sous vêtements (au hasard: Wonderbras !) qu'elle devait intégrer dans ses tenues bcbg.
Je prenais un malin plaisir à la déshabiller, très doucement, avec beaucoup de câlins .. elle en râlait de plaisirs : le SG était à chaque fois défait brutalement pour voir (et qu'elle ressente) ses seins tomber.
J'ai remplacé la porte coulissante du dressing par une porte coulissante KZ .. avec miroir pour qu'elle puisse se voir être déshabillée 'et aussi prise en levrette, seins lourds, pendants agités par l'acte.
Et enfin arriva ce que j'attendais: qu'elle me reproche d'être vieille et qu'un jour de l'abandonnerai.
Je lui ai assuré qu'elle pourrait plaire à un jh. Devant ses dénégations, je lui ai proposé "Cap ou Pacap ?"
Ainsi commencèrent nos jeux, et lorsqu'un 'Pacap' était enfin accepté, les conditions en étaient durcies (privilèges du maitre)
C'est dans ces conditions qu'arriva Fabrice, étudiant de 20a qui nous fréquenta 10a durant. Pour nos voisins, c'était notre neveu.
Je travaillais beaucoup le mental: elle avait compris & reformulait à sa manière "
[i]lorsqu'il me sodomise (les mots salop, enculer, ..était prohibés) devant toi .. il sera alors tenté de le reproduire avec sa femme lorsqu'il sera marié?" et cela l'excitait.
Le souci du maitre (moi) étant d'anticiper l'étape suivante toujours plus contraignante ou humiliante.
Je n'ai jamais perdu le contrôle. Au début, elle s'est plu à me dire "tu es cocu" ou "je suis contente de te faire cocu" je lui expliquai qu'elle était offerte ou prêtée, sur consigne ou RdV, pour être saillie comme je le lui ai montré (= faire comme moi). J'aimais passer après lui. Il aimait passer après moi. Nous aimions la baiser à deux (chacun chez soi si je puis l'écrire ainsi) et sentir de notre sexe le sexe de l'autre ... ce qui la faisait jouir très fort.