Ça y est, j’y suis… vives les vacances ! Pour fêter ça mon copain est venu dîner seul sans sa femme vendredi soir. Ça a encore été chaud, j'ai même eu du mal à trouver le sommeil durant la nuit tellement ça tourne dans ma tête. Maintenant que je vais avoir un peu de temps, je vais enfin pouvoir continuer à vous raconter ; je commence déjà par ma soirée.
Pour ceux qui n’ont pas suivi mon aventure dans le topic « Offrir sa salope à ses potes », je suis excité par la perspective de partager ma femme depuis des années mais je suis très frileux du fait qu’entre autre j'ai peur que ça casse quelque chose entre nous ou pire, qu’elle tombe amoureuse. De son côté elle aime bien l'idée lors de nos ébats mais n'a jamais été partante pour concrétiser (ce qui quelque part me rassurait) jusqu'à ce que je lui présente cet ami de jeunesse l'an dernier ; il a su s'y prendre avec elle et au fil des mois ils sont devenus très complices. Pour l’instant toujours pas de concrétisation mais ils ne ratent jamais une occasion de se chercher tous les deux. Mise à part une pause cet hiver les choses ont donc continué à avancer doucement mais surement au point que le mois dernier elle m’a enfin fait comprendre qu'elle était ok pour tenter cette expérience… j’étais aux anges... en même temps que mis face à mes responsabilités. J'ai toujours laissé les choses se faire entre eux parce que ça m’excite énormément de les imaginer couchant ensemble mais je dois bien avouer que pour l'instant c'est moi qui freine à chaque fois qu’une occasion concrète pourrait se présenter... je reconnais que j’ai la trouille.
Le rapport avec la fécondation c'est qu'en parallèle de ça on essaye depuis 2 ans d’avoir un petit dernier mais pour l’instant ça ne vient pas. On a entamé un parcours de PMA au mois de janvier. Mes spermogrammes ne sont pas terribles (sans être rédhibitoires toutefois) et les tentatives d'inséminations artificielles n'ont pas fonctionné. La gynéco du centre de PMA ne sait pas dire pourquoi ça ne marche pas tout en rappelant que c'est la nature qui décide en la matière et qu’il va falloir se diriger vers une FIV si on souhaite vraiment être à nouveau parents ; il faut dire qu'on est plus tout jeune, ma femme vient d’avoir 41 ans, moi 43… Bref, cette semaine on a récupéré les résultats du test post-coïtal, pas fameux non plus. La thématique du bébé étant donc d'actualité, voilà qu'à l'occasion d'une discussion pendant le repas avec mon copain sur l'organisation des vacances et la gestion des enfants (il en a 4 sensiblement du même âge que les nôtres), le sujet s'est invité à table. Nous n'avions jusque là jamais tenu au courant mon ami du fait qu'on essayait de faire un enfant et encore moins du fait que ça ne marchait pas. Donc voilà, il est au désormais courant de tout y compris de mes spermogrammes déprimants et du test post coïtal foiré... merci ma chérie ! :-/
Je ne pense pas qu'elle ait fait exprès d'amener le sujet, d’habitude elle est prévenante. Là elle était dans son truc et ne s’est pas rendu compte que révéler ce genre de détails personnels à un autre homme risquait de heurter ma fierté masculine. Il faut dire que la question du bébé vire souvent à l’obsession chez elle et quand elle est dedans, elle perd un peu son objectivité sans compter qu’on peut y passer des heures. Ignorant mes gros yeux elle a donc poursuivi la conversation jusqu’à investiguer si de leurs coté à lui ils avaient eu des problèmes de fertilité... Evidemment, mon copain qui n'est jamais à court d'arguments quand il s'agit de se vanter lui a répondu que non, que pour leurs 4 enfants sa femme était à chaque fois tombée enceinte quasiment tout de suite après l'arrêt de la pilule et d'ajouter sur un ton prétentieux et un peu moqueur "qu'avec lui, ça ne traîne pas" ! Lui non plus la psychologie c'est pas son truc mais ça nous le savions déjà, là n’est pas son point fort…
Désolé de me répéter par rapport à mon autre post mais donc il est un peu plus grand que moi, plutôt bien fait, sourire charmeur, 3 ans de moins et, cerise sur le gâteau, il est très bien membré ce qui, même si elle me dit que ça ne compte pas, n'a jamais manqué de susciter l'intérêt de ma femme depuis qu'elle le sait... (mais bien sûr, ça ne compte pas... bizarre quand je demande à mes copines c'est pas tout à fait ce qu'elles me disent). Bon enfin, pour résumer, c'est le genre de mec qu'on pourrait qualifier d'homme à femmes, très sûr de lui et dont l'assurance séduit la gente féminine malgré son côté masculin grégaire, son allergie totale à la psychologie et son sans gêne carrément décomplexé. Quand nous étions jeunes il m'avait piqué ma copine et là ma femme est sous son charme alors oui, je sais qu’il est dangereux pour mon couple. En même temps c'est le seul mec que je lui ai présenté en 6 ou 7 ans avec qui elle serait d'accord pour avoir une aventure et vu ses comportements vis à vis de lui je pense même qu’il est vraisemblable qu'elle en ait envie. Au final j’ai la trouille mais je ne peux pas m’empêcher d'espérer secrètement qu’il s’occupe de ma petite femme tellement j'aime qu'elle prenne du plaisir. Voilà et pour être complet par rapport au thème de ce topic, je dois confesser que l’idée qu’ils couchent ensembles avec un risque qu’elle tombe enceinte de lui m’excite encore plus ; attention, ce n’est pas ce que je souhaite, je sais que c’est une n'importe quoi donc pas la peine de me faire la moral mais j’imagine simplement le plaisir qu’ils y prendraient et ça me plait, je n’y peux rien.
Pour en revenir à vendredi soir et aux événements du repas, j'étais donc tiraillé entre l'estime de moi-même mise à rude épreuve, l’inquiétude que les choses dérapent et l'excitation d'avoir franchis un pas de plus vers la concrétisation de mes pulsions : mon copain venait de rentrer plus loin qu'il ne l'avait jamais été dans l'intimité de notre couple et surtout dans celle de ma femme. Il savait désormais qu'elle désirait un enfant. Il savait aussi et surtout qu'elle ne prenait pas de contraception, ce qui, le connaissant par coeur, ne manquerait pas d'allumer un voyant vert dans son esprit de mâle primitif à tendance dominante. Déjà qu'encouragé par ma passivité bienveillante quand il lui tourne autour (autant que par la réceptivité instinctive d'une femme à moitié conquise) il ne se gênait jamais pour se rincer l’œil et la coller, je savais que ces nouvelles informations n’étaient pas tombées dans l’oreille d’un sourd et qu’il ne regarderait désormais plus jamais le corps et le cul de mon épouse de la même façon. Pour tout vous dire j'étais même prêt à mettre ma main au feu que ça serait pour lui une occasion, pour ne pas dire une motivation, d'essayer d'obtenir ses faveurs. L'avenir ne tarda pas à me donner raison.
Pendant le repas, sentant les choses glisser sur une pente dangereuse, je me suis une nouvelle fois dégonflé et j'ai préféré dévier avec succès la conversation sur un autre sujet que la sexualité. Mais au moment de son départ, alors que nous étions tous les trois sur le pas de la porte et après s'être fait la bise et souhaités bonne nuit, il est revenu à la charge. Il m'a lancé sur le ton de l'humour un "bon et donc ne soyez pas sages et (me touchant l’épaule en même temps qu'il me fit un clin d’oeil) si t'as besoin d’un coup de main pour ta femme, tu n'hésites pas hein ? ça fait longtemps qu'on se connait, tu peux compter sur moi" ! Ma femme a réagi sans attendre en lui rétorquant "Pfff, tu arrêtes un peu tes conneries, aller tu rentres chez toi, ta femme t'attends" tout en le poussant gentiment avant de venir se lover contre moi. Pour ma part, un peu déstabilisé par sa proposition que je savais à demi sérieuse et qui faisait écho à mes fantasmes les plus fous, j’ai fait bonne figure en essayant de mettre de la conviction dans un "non mais ça va t'inquiète, je fais ce qu'il faut". En réalité, je crois qu’à la place d’une proposition j’aurais préféré qu’il prenne l’initiative d’une démonstration sur le canapé du salon ! Qui sait… mise à part qu’à chaque fois qu’on en a parlé sérieusement ma femme m’a toujours répété qu’elle ne souhaitait pas que je sois présent pendant l’acte le jour où ça se fera, si ça se trouve ce soir elle se serait laisser faire…
Quoi qu’il en soit sur ces bonnes paroles il s'en alla. Une fois la porte refermée, s’en suivit un long silence que seule la voiture démarrant puis s’éloignant vint troubler. Je crois que chacun devait digérer de son côté ce qui venait de se passer, en tout cas c’était le cas pour moi car je me sentais un peu dépassé par mes propres émotions. J’entrepris mécaniquement de débarrasser la table pendant que ma femme s’était éclipsée dans la salle de bain afin de se préparer pour la nuit. D’habitude après chacun de ses départs on est pressés de se parler pour revenir sur les événements de la soirée mais là ce n'était pas le cas. Peut-être qu'elle réalisait et culpabilisait être allée un peu trop loin pendant le repas... quoi qu'il en soit il n’y eut aucun échange jusqu’à ce qu’une fois dans le lit, allongés l’un contre l’autre, je vienne lui caresser les cheveux et rompre le silence :
« Tu en penses quoi de sa proposition ? » … elle fit semblant de ne pas comprendre. « Je parle de sa proposition de me donner un coup de main… ». Réponse immédiate : « Pfff, tu ne vois pas qu’il disait ça pour plaisanter… de toute façon c’est de toi que je veux un bébé, pas de lui, je m’en fiche de lui, tu es bête ou quoi ?! ». Je ne me démonte pas et je développe : « Je le connais tu sais, il n’est pas du genre à réfléchir ni à se casser la tête, il est basic, limite binaire : tu veux un bébé, avec moi ça ne marche pas, lui il sait faire et en plus tu lui plais donc il propose ses services, c’est aussi simple que ça. En plus de ça il a envie de toi et doit surement voir ça comme un gage supplémentaire d’efficacité de ses spermatozoïdes. Les conséquences et implications notamment sur notre couple et sur l’enfant il n’y réfléchit même pas. Je n’irais pas jusqu’à dire que pour lui c’est une proposition naturelle genre un service qu’il nous rendrait mais presque. D'ailleurs si on creuse il va surement nous dire un truc du genre : " moi ou un donneur anonyme quelle différence ? moi au moins vous me connaissez, ce sera plus rapide et il y aura moins de paperasse…" Bon de toute façon je sais bien que tu ne veux pas d’enfants avec lui, pas plus que moi je souhaite que tu tombes enceinte de lui (je l’embrasse amoureusement). Non, ma question c’est plutôt : … et si ça arrivait ? Tu m’as dit que tu étais d’accord pour expérimenter une relation sexuelle avec lui, tu sais que l’idée me plait et que j’ai envie que ça se fasse alors même si j’ai un peu peur parce que je tiens à toi il est probable que ça va finir par arriver » … elle acquiesça puis m’invita à poursuivre : « et donc ? ». « Donc et bien imagine que vous soyez en train de faire l’amour ensemble et que dans le feu de l’action, au moment critique, dans un excès de fougue, le préservatif se déchire… ce n’est pas irréaliste avec son gros sexe d’autant plus qu’il sera surement un peu à l’étroit dans ton petit ventre qui n’a pas l’habitude ! » … sa réaction fut un simple « Ah… » d'étonnement qui la laissa pensive comme si mon exposé avait ouvert des perspectives auxquelles elle n’avait jamais pris le temps de réfléchir. J’ai poursuivi : « Franchement je ne pense pas que si ça arrive il se retirera et s’il est aussi efficace qu’il le dit, une seule éjaculation au fond de toi pourrait par malchance suffire à te féconder » ; elle réagit pas un « ben oui » accompagné d'un petit sourire mi coquin mi dépité mélangé à de la résignation, comme si elle voulait me dire que c'est dans l'ordre des choses et qu'il allait falloir faire avec cette éventualité. Pour le coup c'est moi qui restais pensif l’espace de quelques instants...
« Donc voilà, ma question c’est plutôt : si ce genre d’accident survenait et que tu tombais enceinte de lui, est-ce que tu aimerais ? » Après un très léger instant d’hésitation, adoptant son petit regard de chien battu elle me répondit timidement et un peu honteusement « probablement que oui ». « Donc pour résumer, tu ne veux pas tomber enceinte de lui mais si par malchance cela arrivait, tu serais heureuse ? ». Cherchant à retrouver un peu de contenance, elle me reprit en précisant : « C’est avec toi que je veux un bébé donc je serais déçue que ça soit de lui et pas de toi, d’ailleurs il faudrait qu’on décide ensemble ce que l’on fait, mais sinon dans l’absolue oui, en dehors de toute autre considération et si j’arrivais à oublier que c’est de lui et pas de toi, je serais heureuse d’être enceinte évidemment... ben quoi, je suis honnête, ce n'est pas ce que tu veux ? ». Je vois que de son côté elle y a déjà un peu réfléchis, pour une fois elle a de l’avance sur moi ! « Ok … et donc en sachant cela, ça ne te plairait pas de prendre des risques avec lui ? ». Je dois vous dire que tout en lui posant ces questions, ma main était parvenue à se frayer un chemin vers son intimité en passant par le côté de sa petite culotte ; je m’appliquais depuis déjà quelques minutes à faire glisser mes doigts de bas en haut entre ses lèvres trempées caressant délicatement à l'occasion son clitoris. Tout en ondulant légèrement du bassin, elle finit par répondre à ma question du bout des lèvres par un « je ne sais pas, peut-être ».
Le moment était venu de passer à l’étape suivante. Tout en lui adressant un sourire coquin, je lui ai posé une question qui n’en était pas une : « hum, c’est ta tête ou ton ventre qui ne sait pas ? ». Joignant le geste à la parole, sans même attendre de réponse, je lui ai ôté sa culotte et je suis venu me placer entre ses cuisses. J’étais tellement dur et elle tellement mouillée que la pénétration s’est faite quasiment toute seule. Tout en commençant lentement mes vas et viens, je lui ai demandé tout bas de fermer les yeux et d’imaginer que c’était lui qui était en elle. Elle semblait hésitante sans trop comprendre ou alors cherchant du regard mon approbation, une façon de me demander : " tu voudrais que je pense à lui maintenant ? tu es sûr que c’est bien ce que tu veux ? " En guise de réponse j’ai juste continué : « je voudrais que tu fermes les yeux et que tu imagines ce fameux soir où on l’invitera. Ce sera la veille de ton ovulation et on se sera abstenu quelques jour pour que ton corps en ait très envie. On aura passé une très bonne soirée tous les trois, tout sera parfait. Je vous aurais laissé notre chambre et j’attendrais au salon puisque tu préfères que je ne sois pas présent. Le seul petit détail c’est qu’il aura oublié sa boîte de préservatifs mais pour ne pas annuler ce moment qu’on attendait tous, on lui aura fait promettre de se retenir afin de ne pas finir en toi. Voilà maintenant tu peux fermer les yeux et imaginer que tu es avec lui là, sur notre lit, et qu’il te pénètre pour la première fois ».
Dès le début de mon propos elle avait fermé ses yeux et tourné sa tête comme pour ne pas me ou le regarder. Sa respiration s’était faite plus courte tout en s’accélérant, je pouvais presque entendre battre son cœur. Après avoir déboutonné son chemisier, j’ai placé ses bras au-dessus de sa tête pour m’occuper de sa poitrine, elle adore ça. Lorsque j’eus fini de lui câliner langoureusement les seins, mes baisers sont remontés sur sa peau parfumée tout doucement jusqu’à son cou ce qui me laissa du temps pour prendre mes marques à l’intérieur de son corps. J’embrassais son visage, j'avais commencé par son oreille pour finir délicatement sur le bord de ses lèvres mais celles-ci restant inertes, j’ai vite compris que la citadelle ne serait pas facile à prendre. J’entrepris de sortir les grands moyens en lui chuchotant quelques mots tendres : « je suis un homme et je voudrais te dire combien tu le rendras heureux ce soir là ; j’aimerais que tu puisses savoir comme c’est bon de faire l’amour à une femme que l’on a autant désirée. Souviens toi de toutes ces fois où il a été charmé par ton sourire, toutes ces fois où il ne se lassait plus de regarder tes jambes, toutes ces fois où il aurait voulu goûter tes lèvres, caresser tes seins et où il n’a pas osé poser ses mains sur toi parce que j’étais là. Tu n’es peut-être pas sa femme mais c’est toi qu’il veut, toi qu’il désire depuis plus d’un an. Penses à combien de fois il n’a pu trouver le sommeil qu’après s’être soulagé en s’imaginant venir en toi. Lui offrir ton corps et le laisser te posséder juste une nuit est le plus beau de cadeau que tu pouvais lui faire ».
Je connais par coeur ma petite femme d’amour et je savais bien que ces mots allaient avoir raison de ses dernières défenses. Ses yeux restaient clos mais ses mains m’avaient maintenant attrapé par la taille et accompagnaient mes assauts. Je crois que ses cuisses ne pouvaient désormais pas être plus écartées et sa bouche entre-ouverte me rendait maintenant mes baisers avec une douceur et une sensualité dont j’avais oublié qu’elle en était capable. Son ventre était tellement ouvert que je ne me sentais plus suffisamment gros pour la combler malgré mon application à fouiller celui-ci méticuleusement et m’y enfoncer le plus profondément possible. Je vous jure que c’est dans ces moments là que je la sais prête pour le sexe plus long et plus épais de mon copain ; s’il était encore là c'est le moment où je me serais retiré et je lui aurais laissé ma place afin qu'il la prenne et qu'elle puisse se sentir encore plus femme qu’elle ne l’avait jamais été avec moi. Inutile de vous dire que même si en l’occurrence ce n'était que moi elle ne mit pas plus d’une ou deux minute à être emportée par un gros orgasme qui me surprit moi-même, il s'est déclenché sans que je ne le vois venir.
De mon côté je n’avais pas fini mais je m’apprêtais à la laisser souffler un peu et reprendre ses esprits, j’ai coutume de faire après chacun de ses orgasmes mais apparemment ce soir ce n’est pas ce qu’elle voulait comme en témoigne ce petit " continue " qu'elle a laissé s'échapper. Elle n’avait pas arrêté les mouvements de son bassin non plus et ses mains qui empoignaient désormais mes fesses m’incitaient à ne surtout pas arrêter mes vas et viens mais au contraire a les accélérer. Son vagin s’était désormais contracté comme pour mieux me sentir de sorte que mon sexe qui était quant à lui rigide comme un bout de bois venait appuyer contre son col à chaque pénétration ; pour être franc ce n'était pas une sensation des plus agréable mais ce n’était qu'un détail au regard du plaisir que je prenais à la baiser sans aucune retenue, je trouvais ma petite femme d'amour vraiment bonne : « tu sais qu’il ne va jamais pouvoir tenir la promesse de se retenir si tu lui offres ça … il faut te souvenir que ça fait plus d’un an qu’il te désire et bande comme un âne en pensant à toi, tu as pu le constater par toi-même. En plus de ça il aura les couilles bien pleines après avoir flirté avec toi toute la soirée, sa seule envie sera de se les vider en toi et il ne pensera même plus au risque de te mettre enceinte autrement que comme quelque chose d'excitant, souviens toi qu'il agit sans réfléchir, comme un vrai mâle. Bref ce sera à toi de contrôler si tu ne veux pas qu’il t’inonde le ventre de sperme » … et voilà, effet immédiat : elle eut a peine le temps de me répondre « je m’en fiche qu'il le fasse, continue » qu'elle fut prise par un deuxième orgasme tout aussi puissant si ce n'est plus que le premier. Je dois vous dire que cette fois ci, je n’ai pas pu résisté et je me suis répandu en elle à coup de giclées s'enchaînant rapidement tout en semblant ne plus vouloir s’arrêter. Quand j'eu terminé, dégoulinant de sueur, je me suis effondré à ses côtés après m'être retiré sans égard pour le drap (il a fallu ensuite mettre une serviette éponge pour dormir au sec). Une fois revenue à elle et s'être essuyée l'entre jambes, elle s’est tournée vers moi en souriant et s’est mise à rire : « je suis désolée, j'avais une grosse envie ». J’ai répondu « non mais au contraire, j’adore tellement te voir prendre du plaisir mon amour... et en plus à priori j’ai la réponse à ma question de tout à l'heure : je crois qu'il ne restera plus qu’à voir s’il est disponible à la date de ta prochaine ovulation… ». Fidèle à elle même, elle m'a répondu avec un évasif « tss tss … on verra » puis elle est venue s'endormir contre moi.
Voilà, pour finir je dirais qu'au-delà de l’excitation et du plaisir qu’on prend à chaque fois que ça se passe comme ça après les venues de mon copain, sur le fond je ne sais pas combien de temps je vais résister avant d'inviter celui-ci dans notre lit. J’en ai de plus en plus envie. Ça devient presque une obsession et je sens mes réticences s’estomper au fur et à mesure que le temps passe, comme si les conséquences que cela pourrait avoir disparaissaient devant l’excitation que ça produit chez moi mais aussi chez elle, comme si c'était au final la suite logique à la situation que ça se produise. Ma femme est extrêmement sensible au fait de se sentir désirée, mon copain ne se cache même plus pour la draguer et bander devant elle aussi je sais que sur un plan purement sexuel ils n'attendent que ça de le faire tous les deux... mais tout dépend de moi ; une fois que les enfants vont se coucher et que je les vois se rapprocher, se provoquer par des insinuations ou encore avoir des comportements de couple, je me sens de plus en plus capable de prendre mon courage a deux mains et de leur proposer ouvertement de baiser devant moi. Si parmi vous certains ont vécu un peu la même chose, je pense qu’ils comprendront ce que je ressens.