Paris, samedi soir, dans les année 80, théâtre des deux boules bd St Germain, spectacle érotique avec couple faisant l'amour dans un filet au dessus des spectateurs. Deux superbes actrices jumelles suédoises. Les places étaient réservées plusieurs semaines à l'avance, le puritanisme n'étant pas de rigueur à l'époque. Nous étions jeunes couples et un peu intimidés. En arrivant un peu à l'avance, nous avons constaté que les spectateurs faisaient la queue à l'extérieur, et peu enclin à s'exposer, nous sommes allés prendre un café au bistrot d'en face. Ma femme habillée sexy, robe sous le genou, mais fendue sur le côté style asiatique, bas blancs tenus par des jarretelles, soutien gorge assorti en dentelle, décolleté plongeant s'ouvrant quand elle s'inclinait vers l'avant, était assise en face de moi. Le garçon la dévorait des yeux, mais je n'y prêtais pas attention, tout dans l'émotion de la séance à venir. Au flipper, un consommateur, particulièrement excité, nous regardait, le garçon passa plusieurs fois auprès de notre table, très courtois et prévenant, se fendant de quelques propos anodins sans intérêts. Mon épouse argumentant un besoin pressant, s'absenta très rapidement aux toilettes et réapparue une dizaine de minutes plus tard, alors que je commençais à m'impatienter, la queue au théâtre ayant disparue.
Assis profondément dans les fauteuils, le spectacle commença. Une parodie de pièce qui n'avait pour but que d'amener les acteurs dans le filet et de s'adonner en public à une fornication, sans capote à l'époque, éjaculant en partie sur le public. Ma femme avait laissé s'entrouvrir les pans de sa robe et laissait voir son entre jambe. le décolleté avait suivi et sa poitrine à la respiration saccadée, ne laissait aucun doute sur ses émotions.
Je me rendis compte à ce moment là que l'acteur au dessus, avait comme nous sur lui une vue imprenable et que ses regards insistaient sur ma femme. En fait, c'était lui qui jouait au flipper et sa présence ne la laissait pas insensible.
Le spectacle terminé, j'étais sur un petit nuage avec une envie folle de la baiser. Mes mains dans la salle avaient constaté ses envies et la douceur de ses petites lèvres humidifiées par un suintement de cyprine ne laissaient aucun doute.
En voiture et pour prolonger la soirée, je me suis dirigé vers la porte dauphine, haut lieu des rencontres à l'orée du bois de Boulogne et des exhibitions publiques. Après être passé au ralenti dans une petite rue (av Louis Barthou) entre le périphérique et les maréchaux, plusieurs attroupements de voyeurs armés de piles électriques se sont précipités pour mater à l'intérieur. Roulant au pas, la sentant un peu crispé, je lui ai promis de ne pas m'arrêter complètement, mais en échange et pour faire plaisir à ses pauvres types condamnés à se masturber, je lui ai demandé d'ouvrir sa robe, puis de dégager ses seins, d'écarter le bord de sa culotte qui pour le coup était trempée. Se caressant le clitoris, elle se déclencha un orgasme qui entraina des voyeurs une salve de sperme sur les carreaux. En repartant, sur l'av Foch, un automobiliste porté à ma hauteur, ayant surement repéré mon manège, m'incita à me garer visiblement pour discuter. Je suis sorti de ma voiture, et sans trop de préambule, je lui ai dit que je promenais ma patronne en lui faisant visiter Paris, et qu'à l'occasion, il pourrait profiter de la ballade et sûrement plus. J'ai prié ma femme de monter à l'arrière, en lui précisant discrètement derrière son "chauffeur", et il s'est installé de l'autre coté du siège arrière.
Ma voiture de l'époque était très grande et laissait tous loisir pour s'amuser.
Ma femme suivait, sans rien dire mon délire, et dés qu'il furent installés, incroyablement sage, je me suis retourné et m'adressant à elle, "si madame veut bien me permettre, et docilement je lui ai écarté sa robe, jusqu'à la culotte et m'adressant à lui, "si Monsieur veut bien ?"
Je conduisais lentement dans les rues, au hasard, enivré par les bruits de succions, de doigtés profond, de masturbation réciproque. Notre invité, avait prévu et était équipé. Il prenait son pied, elle le prenait aussi. Par diverses rues, je décidais de refaire le spectacle aux voyeurs de l'av Barthou. Elle ne se rendait compte de rien, il la traitait de sale bourge, de moule à bite, de salope, les lascars du premier passage en prenait plein les yeux. C'était l'expo des bites en tout genre, mais surtout de travailleurs émigrés. une heure après, je redéposais notre invité à son véhicule et nous avons repris le chemin de l'appartement. elle était dans un semi sommeil. Arrivé dans l'escalier, ni tenant plus, je l'ai prise entre deux étages pendant qu'elle me racontait son intermède d'avant spectacle. En fait, le garçon lors de ses passages à notre table, jouait du pied et la poussait à écarter les jambes ce qui par là entrainait, le glissement de sa robe, et les regards incessants du joueur de flipper. La connivence des deux comparses était évidente et le spectacle de la culotte certain. Par un léger signe de la tête que je ne pouvais pas voir, il montra à ma femme la descente d'escalier vers les toilettes, il la laissa descendre en premier, et la suivi après quelques instants. En bas, les toilettes étaient communes, lorsqu'elle arriva, le garçon était là, l'organe sorti, la main en train de lui donner sa toute puissance, bloquée par l'autre qui venait d'arriver derrière elle, elle sentie ses seins emprisonnés par des mains vigoureuses, puis deux autres mains écarter et remonter sa robe, lui soulever les jambes, soutenue en arrière, culotte écartée, elle sentie un gland circoncis la pénétrer sans ménagement. La position rendait l'acte explosif, profondément remplie, elle perdait la notion du lieu et du temps. La reposant au sol, le garçon se dépêcha de remonter faire son travail, me demandant au passage si tout allait bien. Au sous sol, elle s'était retrouvée penchée sur le lavabo, retroussée et doigtée par un doigt inquisiteur à l'endroit ou la décence lui interdisait toute introduction. Les va et vient la déflorant entrainèrent une poussée d'adrénaline suivie d'un orgasme inattendu.
Et je n'avais rien vu.
Maintenant, je comprenais mieux les regards du nikeur dans le filet, de l'attitude du garçon. J'imagine qu'ayant semé l'envie, ils espèrent la revoir venir seule prendre un autre café "crème"