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Ludwig le beau séducteur que je lui ai envoyé après l'avoir choisi puis briefé sur elle, ses désirs, ses envies, ses habitudes. Il l'a rencontré à son travail se faisant passer pour un client. Une fois servi, il lui a demandé le meilleur restaurant du coin, avant de l'inviter à l'y accompagner. Elle a flashé mais refusé. A midi, cependant elle m'a dit avoir été draguée au boulot par un homme "très bien fait de sa personne et qui l'a invitée à déjeuner". Visiblement enchantée et laissant paraitre une certaine excitation verbale comme si c'était la nouvelle du jour. Je lui demande qu'as-tu fait?
- Rien. J'ai refusé
- Dommage, pauvre garçon dis-je en rigolant, il doit être bien vexé.
- Tu crois?
- Eh oui, que crois-tu? Il s'est pris un rateau, c'est tout."
Elle semble songeuse, lorsque nous déjeunons. Un peu plus tard je l'invite à faire l'amour: elle est très demandeuse et en reveut. Le soir elle est très amoureuse, excitée, me fait une pipe et me demande la totale, chatte puis cul en jouissant bruyamment. Je me doute qu'elle pense à quelqu'un.
Après l'amour, nous parlons et j'évoque sa beauté et son appétit sexuel, je lui dis : "pas étonnant que tu plaise, belle comme tu es et avec ton tempérament de feu! Ton beau client a bien dû le sentir.
- Tu crois, bah c'est un jeune homme, il pense déjà à une autre" dit-elle avec comme un regret dans le ton.
"Ca m'étonnerait, lui dis-je, au fait comment s'appelle-t-il?
- Ah , heu je sais pas, heu , Ludwig, je crois ...
- Ha, ha Ludwig! un virtuose certainement avec un nom comme" ça persiflais-je sarcastique. Elle reste coite ...
Les soirs suivants on fait l'amour au moins deux fois avec beaucoup d'excitation et longs préliminaires qui la font gémir. Je choisis d'éteindre la lumière, ainsi elle est concentrée sur ses sensations et libre de fantasmer. Cela doit marcher car elle se donne à fond et j'en profite bien ...
A ma demande Ludwig l'a relancée au téléphone, 2 jours après, lui parlant de son achat et a demandé son email pour "pouvoir communiquer au sujet des produits achetés". Comme elle acceptait il lui a "avoué" son émoi pour elle et sa joie de pouvoir lui écrire. Il a joué le naif, l'ébloui par son chic, sa classe, son souhait de pouvoir la revoir et mieux la connaitre. Il me transfère son premier mail puis la réponse de mon épouse. Ils parlent des produits à 25%, et surtout il lui fait une cour d'enfer à laquelle elle répond de façon à peine voilée.
Par contre elle est quasi muette avec moi, mais très chaude au lit. Prétextant que je suis irrité à force de faire l'amour, je mets des capotes, elle ne commente pas. Après des parties de jambes en l'air mémorable, je lui reparle du beau jeune homme, lui demande si elle l'a revu, elle prétend que non, alors qu'ils en sont à 3 ou 4 échanges de mails par jour et qu'en les lisant je les trouve de plus en plus explicites. Elle ne peut ignorer le désir endiablé du beau Ludwig et tandis qu'elle la joue à l'humour, elle répond à des questions intimes sur sa vie, ses amants (j'en apprends de belles), ses fantasmes (elle fantasme de faire l'amour avec deux hommes à la fois) et admet aussi "comme toutes les femmes avoir le fantasme de la grosse bite" - elle écrit le mot dans son mail - et enfin reconnait être d'accord, et même pressée de le revoir ... de la façon qu'il souhaite si clairement. Elle parle de jeudis ou elle est libre ... et même après 5 jours à peine, que le jeudi pourrait commencer le mercredi soir car son mari est occupé par les réunions syndicales et ne rentre pas ce soir-là et "qu'on pourrait se voir un mercredi soir, quelque part".
Ludwig lui parle de bisous et de mille caresses, elle répond qu'elle "veut mieux le connaitre", lui se fait pressant, évoque des réveils nocturnes tendus, insupportables ou il ne pense qu'à elle, la cajoler, la caresser, l'aimer enfin ... Nicole est survoltée avec moi et veut se faire prendre matin midi et toute la soirée, je m'efforce de suivre. L'obscurité, les capotes la rendent folle. Il lui envoie une photo de lui, nu ou son torse, son ventre et ses attributs virils ont fière allure. Elle cède enfin, admettant dans les mails qu'elle veut le voir et qu'il lui fasse l'amour. Elle délire sur son sexe qu'on ne voit pas assez sur la photo à son goût! Elle espère qu'il est "bien". Ludwig l'assure qu'on ne s'en est jamais plaint jusque-là! Elle en est bien aise ...
Ludwig m'a dit qu'il préfère les femmes épilées, j'aborde le sujet avec elle: tu sais j'adore te lécher ces jours-ci, mais je prend plein de poils dans la bouche. Sur mes conseils, Ludwig lui dit que son ex-était toute glabre et comme cela il aimait bien pratiquer des cunnilungus. Sa décision ne tarde pas, elle va s'épiler samedi!
C'est samedi, je l'encule et elle pense à Ludwig ... Elle crie et c'est pour Ludwig ... son amant rêvé, le beau sportif, charmeur, qu'elle va rencontrer dans 3 jours. Le ventre irrité, épilée, à la demande de Ludwig, le bel étalon qu'elle verra bientôt. Elle rêve qu'il la prend, elle rêve qu'il va la baiser, sans arrêt toute une nuit.
Elle dort et ne se rend pas compte des dessins, elle se promène ainsi toute la journée cul nu car nous ne faisons que baiser, avant que je ne lui signale.
Le soir même elle émaile à Ludwig une photo de sa belle chatte rougie ... Il adore et lui dit qu'il va la dévorer ... elle n'en peut plus! Leurs échanges passent sur msn - dont j'enregistre tous les messages.
Comme elle a laissé tomber son masque pour reconnaitre qu'elle est folle de désir pour Ludwig, je lui fait clamer son nom tous les soirs dans l'obscurité. Pendant et après nos étreintes elle admet avoir du désir pour lui. Je lui dis la comprendre, qu'elle est femme et qu'il est normal et sain d'avoir désirs et fantasmes. Et même de les vivre si on le veut. Elle réagit favorablement et évoque l'éventualité comme lointaine, ensuite, elle fait comme si de rien n'était, mais passe tout son temps sur le PC. Le dimanche elle ne s'habille pas reste en nuisette toute la journée et nous ne cessons de baiser et de nous doucher, entre ses séances MSN et email.
Dans les échanges avec lui, elle est enflammée, suppliant Ludwig d'être entreprenant, de la réveiller la nuit pour lui faire l'amour ... elle veut le sucer et qu'il lui fasse tout. Elle aborde l'amour anal, lui avouant jouir de tous les côtés et être sans tabou et tout aimer des hommes: une claire invitation à la visiter par là, s'il en doutait.
Au lit j'ai raconté à ma femme que j'avais rêvé qu'elle était partie rencontrer son beau soupirant (ton chéri ai-je dit). Je lui ai dit que dans "mon rêve" elle était joyeuse, souriant aux anges en allant rejoindre "son chéri", puis qu'ils avaient fait l'amour plusieurs fois dans une chambre d'hotel et que je les regardais.
Elle était fascinée et m'a posé des questions: "était-ce précis?
Moi : Oui je vous voyais. Comme si j'étais au bord du lit.
Elle: Tu participais?
Moi: Non je regardais mais j'étais pas là, vous étiez tous les deux seuls ...
Elle: Comment faisait-on?.
Moi: tu étais en levrette au bord du lit et il te prenait par derrière , comme nous hier soir (sodo) ...
Elle: Ha! ... et tu n'est pas jaloux?
Moi: Non, pourquoi? Je me suis réveillé, j'étais excité, il a fallut que je me masturbe dans la nuit pour me soulager ...
Elle : Je t'admire (il n'y a pas de quoi mais bon
).
Moi : Je t'aime chérie. Si tu en a envie, vas-y! Sinon tu auras des regrets ...
Elle: ... je sais pas ...
Moi: Tu as peur? Je sais que tu le désire plus que tu ne l'avoues ...
Elle: J'ai peur de moi ... de tomber amoureuse ... de détruire notre couple ...
Moi: Mais oui tu seras amoureuse ... un certain temps et puis tu reviendras vers moi ...
Elle: J'ai peur de souffrir ... les ruptures ca me fait souffrir ...
Moi: Mais il n'y aura pas de rupture, vous vous aimerez ... et un jour il y aura moins de désir et vous resterez des ex-futurs-amants qui se reverront selon leur bon plaisir ou non.
Elle: ... Oui je sais ... c'est toi qui a raison ... mais ...
Moi: Tu as peur, t'es pas chiche? Je vais t'appeler "pois chiche" jusqu'à ce que tu aie le courage ...
Elle: Te moque pas de moi!
Moi: va répondre à son mail alors!"
Dernière édition par FAN DU TICKET le Sam 9 Juin 2012 22:14, édité 2 fois.