Belle brune, sportive, elle a toujours fait tourner les têtes et attirés les compliments masculins, voire les propositions explicites. Elle se fait quelques complexes - injustifiés - à cause de son petit ventre, moins plat que par le passé. Son popotin de danseuse fait rêver, rond et musclé, il respire la santé et inspire les désirs. Sa souplesse, elle fait le grand écart sans peine évoque des acrobaties érotiques, dont je connais tous les secrets. D'habitude le week-end elle s'habille sport plutôt jeans et vêtements amples, chemises d'homme, sweat shirts.
Aujourd'hui une petite robe noire aux épaulettes fines gît sur la table à côté d'elle, le genre léger qui moule, dévoile tout et s'enlève facilement.
Adossée à l'accoudoir, ses petits seins bruns érigés, les joues rouges, elle rit à pleine dent, le regard fixé sur son pubis.
Avec application elle se rase la chatte avec son petit babyliss tout neuf.
Elle n'a jamais fait ça non plus, je peux voir la peau rougir sous la petite machine qui arrache ses poils.
Du fauteuil à côté, et tandis qu'elle s'applique à parfaire sur son entrejambe, je peux voir sa chatte briller, bientôt une goutte se forme et entame une descente vers le bas de son périnée disparaissant entre ses fesses.
Quelques poils persistent du côté gauche, elle y envoie l'appareil et me fait un clin d'oeil: "Il faut souffrir pour être belle!
- Que ne ferait-on pour plaire ...".
Elle hausse les épaules. Elle rit sans cesse maintenant, ses mamelons sont turgescents, durcis vers le haut, les seins rétrécis en poire.
Sa chatte est parfaitement lisse, rose vif, la peau est irritée par le passage de l'épilateur.
Ses lèvres sont protubérantes maintenant, les petites lèvres détrempées dépassant délicatement des grandes lèvres humides et gonflées brillent dans leur jus.
Son sourire est un peu figé,concentré, pendant qu'elle se termine, enfin, elle a le regard un peu vague, l'air satisfait de l'ouvrage accompli.
Je lui fait remarquer qu'elle n'a pas traité le pourtour anal, elle lève un sourcil d'un air déçu: "c'est difficile à atteindre!".
Mais courageusement elle se penche davantage sur elle-même et profitant de l'habileté acquise passe soigneusement l'instrument sur ses marges anales roses.
Cela va moins bien cependant car elle travaille à bout de doigts et surtout les poils bruns sont détrempés. Aussi elle accepte que je l'aide pour la finir, écarte des cuisses au maximum, ses genoux sur les épaules, son anus rosé est bien dégagé et l'appareil peut mieux y accéder. Je peaufine les derniers recoins et les libère de leur pilosité collante, en souriant elle se plaint un peu que ça arrache. "C'est tout mouillé" lui dis-je, "Oh, Alors!" répond-t-elle.
C'est fini, ma femme ne conserve qu'une petite bande de poils verticale de 1 cm de largeur coupée court sur le pubis remontant sur 4 cm vers le nombril.
Je la complimente: " Tu es splendide ainsi, dommage que je sois le seul à voir toute cette beauté." Elle rit sans répondre. Je continue: "Il y a là de quoi faire bien des heureux!"
Elle rit davantage: "tu crois que ça peut plaire?". J'insiste: "Bien sûr, tu es irrésistible. Et puis tu veux bien plaire, hein? On dirait même que tu as joui! Tu es bien excitée, non? Avoue! Qui croirait que quelques pensées pourraient te tourner la tête ainsi.
- Oh oui, c'est vrai " dit-elle avec un petit regard faussement coupable. Puis elle baisse les yeux avec un sourire rêveur.
Je vais te photographier ainsi tu es trop belle ... Reste ainsi. Je fais une vingtaine de poses, cuisses écartées puis resserrées, avec quelques gros plans de sa chatte luisante, rose vif d'irritation, on voit bien se former une goutte au bas des petites lèvres, elle prend de l'ampleur et glisse doucement sur la peau lise pour venir se loger au creux de son anus. Ses yeux sont fermés: "ma parole, tu continues à jouir!" lui dis-je. Elle, le visage crispé, reste silencieuse, bouche entre-ouverte.
"Tu penses à ça, hein? Baiser, hein?
- Ouiii!" Avoue-t-elle dans un soupir, la chatte inondée laisse suinter des eaux sans retenue, comme un flot de désir. Je passe ma main sur son entrejambe, elle frémit. Mes doigts sont humides comme si elle s'était douchée.

La suite si ça vous plait ...