par nostromo » Dim 16 Fév 2014 11:22
Épisode 4 : Là où l'époux se masturbe dans la voiture au pied de l'immeuble de son épouse
Si vous avez lu depuis le début, vous savez que je sais... Mon épouse Yen, petite chinoise sexy et avenante, a maintenant un amant
C'était prévu, elle ne supporte pas la solitude associée à un travail loin du domicile nécessitant un logement la semaine
Je savais qu'elle le ferai / Je le sentais mais j'en ai maintenant la preuve. Ses culottes lorsqu'elle rentre le vendredi sont sans ambiguïté car elles portent les marques de l'homme qui laisse sa trace dans sa chaire. Il faut maintenant que je vois quelque chose, mes masturbations ne me suffisent plus.
Alors je décide de prendre une journée de RTT et je me rends à son appartement en fin d'après midi, avant qu'elle ne rentre et j'attends sagement sur une place un peu à l'écart mais qui me donne une vue dégagée sur l'entrée de l'immeuble. J'attends dans le froid relatif de cette journée grise de février. 1 heure puis 2 puis... sa petite voiture à la mode arrive suivie d'une BM grise de série 5, un véhicule que jamais je n'aurai le moyen de payer
Les 2 véhicules se garent, les 2 conducteurs en sortent. Mon épouse, habillées comme à son habitude de pantalons noirs et du joli manteau que je lui ai offert à Noël. Un homme très grand (au moins 1m85), les cheveux abondants et gris, il doit avoir environ 55 ans. Mon épouse se jette littéralement à lui, il fait 2 fois sa taille et semble l'avaler. Les bouches se rapprochent, les langues se mélangent, les mains se cherchent.
Je vois la main immense de l'homme prendre possession du cul de ma femme, pratiquement complètement recouvert. Les chinoises ont toutes de petits culs, celui de Yen ne fait pas exception. Le grand homme en palpe allégrement tout le volume, un doigt pressant ostensiblement la raie soumise et ouverte, peut être au point d'en sentir l'ouverture anale
La main de ma femme, plus timide, palpe la poitrine de l'homme pendant que les langues poursuivent leur danse préparatoire à une bonne soirée.
J'imagine la salive de l'homme avalée par ma femme, la possession commence là. Ma femme avale déjà les premiers gènes de l'homme dans son estomac, ce qu'elle me refuse depuis des années
Les bassins sont étroitement collés l'un à l'autre. Elle donne de petits coups de cul contre l'homme pour exciter une érection que je ne peux voir d'où je suis mais qu'elle ressent assurément contre sa vulve empoilée. Collés l'un à l'autre, je devine qu'un profond amour les unit et que ces deux là se sont déjà montrés tout ce qu'il y avait à voir
Cela fait déjà un moment que j'ai baissé culotte et pantalon pour me masturber, je suis complètement focalisé sur eux, je les vois enfin. Je sais plus que je n'ai jamais su car je vois !
Je les vois se diriger vers l'immeuble amoureusement enlacés, ils vont se donner l'un à l'autre, il va la remplir et la marquer au sang de son propre corps, de toute sa puissance
C'en est trop, j'éjacule complètement concentré sur ma petite queue de cocu. Au moment où les jets engluent mes poils de cocu content, aveugle que je suis à tout le reste, des coups violent tapent à ma fenêtre.
Putain, les flics, je n'avais rien vu venir.
Quelqu'un a du me voir et les a appelés. La porte s'ouvre, la voix dure tombe : Rhabillez vous et sortez du véhicule...
A suivre...