par libertinne » Lun 5 Jan 2015 17:55
L’anniversaire
Après cette expérience vécue dans l’appartement d’Aurélie, Sophie redoutait que l’ambiance au travail ne devienne impossible avec sa collègue. Au début, ce fut le cas. La petite brune ne ratait pas une occasion de la frôler, de lui mettre la main aux fesses, ou même de lui palper carrément les seins quand elles étaient seules. Aurélie avait même fini par exiger qu’elle ne porte plus de sous-vêtement sous sa blouse, pour la doigter plus facilement.
De son côté, Sophie était bien obligée de reconnaître qu’Aurélie lui faisait de l’effet. Ces petits jeux, de moins en moins discrets étaient follement excitants et cette cochonne savait la faire jouir comme personne. Pourtant elle tenait à sa réputation de femme mariée et fidèle. Un jour, elle tenta d’expliquer à Aurélie que leurs petits jeux la gênaient, qu’elle lui demandait de se montrer plus discrète.
- « Si tu veux » avait répondu sa collègue entreprenante « Mais c’est bientôt mon anniversaire. Tu n'as pas oublié le cadeau que je t’avais demandé ? »
- « Non, bien sûr. Mais tu l’as eu mon corps… »
- « Oui, mais je te veux toute une nuit ! Tu t’arrangeras avec ton mari ?»
- « On verra » répondit simplement Sophie en reprenant son travail.
A partir de ce moment-là, elle commença à s’angoisser pour cet anniversaire. Aurélie avait pris un tel ascendant sur elle qu’elle ne pourrait pas refuser. Pourtant, jamais encore depuis le jour de son mariage elle n’avait découché. Elle s’en voulait assez d’avoir succombé aux charmes d’Antoine, puis de sa collègue lesbienne.
Pourtant Aurélie tint promesse. Ses assauts envers sa collègue blonde devinrent plus rares et plus discrets. Elle se livrait encore à quelques attouchements et elles continuaient à échanger des baisers passionnés et sensuels, mais cela se faisait désormais quand elles étaient vraiment seules.
L’arrivée d’une nouvelle collègue dans leur service allait d’ailleurs changer la donne. Elle se prénommait Laure et avait tout juste 25 ans. Elle était blonde, comme Sophie, et portait des cheveux courts comme Aurélie. Rapidement, Sophie vit que sa collègue n’était pas insensible au charme de la nouvelle venue.
Laure était célibataire et n’avait pas de petit copain. Aurélie se mit à se rapprocher d’elle de plus en plus et finit par s’arranger pour qu’un jour, elle la ramène chez elle. Sophie s’amusait de voir son petit jeu et, en même temps cela lui rendait service, car Aurélie était occupée et la laissait enfin un peu tranquille. Bien sûr, elle continuait de la tripoter un peu quand elles étaient seules et l’embrassait une fois ou deux dans la journée, mais cela n’avait plus rien à voir avec le véritable harcèlement qu’elle avait connu.
Un matin, Aurélie vint vers Sophie et lui fit un clin d’œil. Elle l’embrassa, comme d’habitude, après l’avoir entrainée à l’écart des autres collègues.
- « Ca y est, je l’ai mise dans mon lit ! » lui dit-elle avec un air triomphal.
- « Qui ? Laure ? »
- « Bien sûr ! Cette petite cochonne n’a même pas résisté. Elle est aussi gouine que moi ! »
Aurélie lui décrivit alors la nuit qu’elle venait de passer avec la jeune femme avec force de détails. Elle décrivit la chatte parfaitement épilée de sa jeune collègue, expliqua qu’elles avaient joui plusieurs fois au cours d’un 69 interminable, puis elle retourna à son travail. Sophie se dit que, finalement, elle n’était qu’un trophée parmi d’autres que l’insatiable lesbienne avait voulu accrocher à son tableau de chasse.
Effectivement, au cours des semaines suivantes. Aurélie passa surtout ses pauses avec Laure. Elles ne se quittaient même pratiquement plus. Aussi, lorsque Sophie reçut l’invitation pour aller à l’anniversaire d’Aurélie. Elle alla aussitôt demander à celle-ci, si Laure serait là.
- « Bien sûr ! » avait répondu la petite brune. « Elle vit chez moi depuis près de deux semaines. »
Du coup, elle accepta l’invitation avec moins d’appréhension. Puisque sa copine « Aurèl » était casée… Le jour de l’anniversaire, Aurélie avait invité une dizaine de personnes. Que des filles évidemment ! Il y avait deux de ses voisines, plusieurs collègues de travail, dont, bien sûr Sophie et Laure, mais aussi deux de ses cousines. La fête se déroula dans la bonne humeur et l’ambiance resta très correcte. En fin de journée, les invitées partaient les unes après les autres. Quand Sophie annonça qu’elle allait rentrer, elle-aussi, Aurélie protesta.
- « Ah non, pas toi ! N’oublie pas ce que tu m’avais promis pour mon anniversaire… »
- « Mais, il y a Laure » fit remarquer Sophie.
- « Et alors ? Plus on est de folles… »
C’est donc fortement perturbée que Sophie accepta de tenir sa promesse. Une fois qu’elles furent toutes les trois, Aurélie se déshabilla et vint caresser Sophie, horriblement gênée. Avec une pointe d’ironie, Laure resta un moment à l’observer, comme si elle était choquée de la voir avec Aurélie. La sage mère de famille ne savait plus où se mettre. Surtout quand Aurélie lui enleva son chemisier puis sa jupe.
C’est alors que Laure éclata de rire. Elle aussi s’approcha et aida sa complice à terminer de mettre leur ainée entièrement nue.
- « Allez, viens ! » lui dit-elle « On va s’amuser toutes les trois »
Sophie se laissa guider et se retrouva, une fois encore, dans le lit d’Aurélie. Cette fois, c’était Laure, une collègue à qui elle parlait à peine, qui lui caressait les fesses et commençait à la doigter. Aurélie les rejoignit. Elle tenait à la main une bombe de chantilly et en vida une partie sur le corps de Sophie. Toutes les deux se précipitèrent pour se régaler de ses seins, puis elle reprit la bombe et en mit sur le sexe de Laure. Celle-ci en fit autant avec Aurélie. Bientôt, elles se retrouvèrent toutes les trois, formant un triangle lesbien à déguster ce mets sucré dans la chatte d'une autre. Sophie léchait Aurélie. Aurélie avait la tête entre les cuisses de Laure et celle-ci, refermant la figure géométrique, dégustait la chatte de Sophie. Elle était aussi douée que son autre collègue !
Comme c’était l’anniversaire d’Aurélie, elles la firent installer sur le lit et vinrent la caresser et la lécher en déployant des trésors d’inventivité. Toutes les parties de leur corps servaient à l’exciter. Les seins, les fesses, la bouche, les pieds… Elles la firent jouir plusieurs fois, puis les trois filles se mirent au lit ensemble.
Sophie passa la nuit entre les deux lesbiennes. Au moment de s’endormir, elle eut une pensée pour son mari. Il devait être en train de se branler tous seul. En rentrant elle se promit de lui faire une pipe magistrale.