par femme joueuse » Mer 17 Déc 2014 22:05
3ieme fois..
cette fois encore, le danseur a fait les chose à sa manière,
là ou je l'attendais le moins..
à quelques rues de chez moi seulement, déphasée, nerveuse..
il discute avec moi, me sert un café, me fais fumer un joint,
nous discutons toujours, je me détend.
je suis assise par terre en tailleur, il s'approche de moi par derrière,
me caresse les cheveux,embrasse mon cou, ma nuque.
je suis a nouveau tendue, partagée entre l'envie et la peur, je tremble.
il passe devant moi et m'embrasse pour me tranquilliser,
frémissante, une proie qui cherche ses marques et ne les trouve pas.
je ne reconnais pas cette peau, ni ces gestes et ma chair à du mal a le capter.
il m'embrasse sans relâche, son attitude rassurante et douce, me calme.
il m'attrape et me pose sans effort sur son bar, par les jambes,
et viens s'y loger, lui entre mes cuisses déjà ouvertes,
alors que tout en moi dit non.
doux, délicat, determiné, il m'embrasse encore,
tellement rassurant que je fini par oublier et me fondre.
pas le temps d'apprécier..parce que c'est a ce moment là qu'il me met à genoux
et me viole la bouche, il s'enfonce centimètres par centimètres, toujours plus au fond de la gorge.
les larmes arrivent et je continue, à peine le temps de reprendre mon souffle et retrouver ma gorge,
de coriaces filets de bave me rattachent encore à son sexe long, toujours tendu.
il me porte dans sa chambre, il veut ma gorge, encore,
il se déshabille en me regardant, je commence a faire pareil,
mais il a décidé que c'était à lui de le faire, tranquillement,
et moi nerveuse, pauvre proie, muette et docile.
il me fouille, brutalement, partout, avec ses doigts, puis sa main, puis de son gode.
normalement, la douleur est aussi un plaisir quand elle vient après ce dernier,
j'ai eu le droit avant, en force.il m'élargit pour plusieurs jours.
fesses tendues, accoudée à son lit, il se défoule dans mon dos en redoublant les fessées,
et je dois bouger, j'ai mal et j'en veux encore, mes fesses sont déjà habituées à ce sexe,
et quand il sort, je suis en manque.
il me retourne, me gifle et éjacule sur mon ventre, mes seins, mon visage et mes lèvres.
il s'approche, doux, les lèvres, la langue, prend de ma salive et m'ordonne d'avaler la sienne.
je ne l'aime plus sa salive, mais je le fais, et en y mettant tout mon dévouement.
il me retourne et me baise devant, derrière, par le coté, en maintenant mes jambes, tendues, repliées, écartées..
de sorte que je ne ressente rien d'autre que sont sexe long et toujours raide me défoncer le ventre.
queue toujours droite, il me reprend encore.
on fume un autre joint, on discute longtemps et je pars,
abusée, utilisée brutalement, je devrais être calmée..
mais ma seule idée en partant est de me sentir prise a nouveau
et je rêve de mon homme pour profiter de ce manque de queue effroyable.