par sandra-eric333fr » Mer 6 Fév 2019 09:21
Il n’en a pas toujours été ainsi. Le candaulisme, ou plutôt le cocufiage consentant en ce qui nous concerne, implique une certaine complicité et nous avons eu des moments torrides au début de notre relation.
C’est justement parceque je l’ai longtemps et souvent possédée qu’il m’est facile de la partager.
En effet, il est arrivé souvent à Sandra de se transformer spontanément en volcan dans nos premières années ...
il faut l’imaginer entierement nue en train de me chevaucher sur la banquette arrière de ma voiture garée dans une contre-allée à Paris par une nuit de printemps particulièrement chaude. Elle avait 30 ans.
J’avais un gros 4x4 vitres arrières teintées à ce moment-là. J’ai pris Sandra sur la banquette arrière une bonne vingtaine de fois dans les rues de Paris en sortant du restaurant.
Je devrais plutôt dire : Sandra m’a baisé sur la banquette arrière... elle me faisait assoir à l’arrière, baissait mon pantalon et mon caleçon, enlevait sa culotte et venait m’enfourcher, jupe troussée aux hanches ou vêtue de son seul soutien-gorge. Je dégageais sa poitrine pour la sucer pendant que Sandra se faisait jouir en montant et descendant sur ma queue. Ses cris de plaisir entraînaient ma jouissance autant que ses coups de reins.
Sandra adore être désirée. Quand elle croise le regard d’hommes qui ont envie d’elle, elle monte en pression aussitôt. On n’imagine pas en la voyant, serieuse et distante, mais il est possible de la draguer dans un bar ou dans un restaurant juste en échangeant des regards avec elle, à condition de savoir faire preuve de persévérance et de subtilité.
Un soir, dans un bar à cocktail, où elle portait une tenue très vaporeuse (photo jointe), je l’ai vue devenir particulièrement lascive en sirotant son cocktail. Reins cambrés, poitrine en avant, petits coups de langue de chat sur le bord sucré de sa coupe ... En jetant un œil à gauche, j’ai réalisé que deux des hommes d’un groupe placé sur les tables à côté la couvaient du regard avec envie et qu’elle était en train de leur offrir un show.
Je me suis alors penché par dessus la table pour l’embrasser, elle a répondu à mon baiser bouche ouverte, langue tendue. Nos voisins qui la voyaient de profil devaient être aussi raides que moi.
La sentant en fusion, j’ai demandé à Sandra de me donner son string. Elle a continué à siroter son cocktail en silence puis m’a demandé de lui en commander un autre et elle s’est levée langoureusement et a disparu très lentement vers les toilettes suivie par de nombreux regards.
Elle est revenue avec une petite boule de dentelle à la main qu’elle a posée bien en vue sur le coin de la table. Je l’ai laissée là un moment en espérant que les mecs d’à côté avaient bien compris de quoi il s’agissait avant de l’empocher. Ce soir là je l’ai prise habillée, directement en levrette dans les toilettes des hommes.
Il faut l’avoir vue aussi mettre le feu à la salle du haut de Américan dreams, pour ceux qui connaissent, un soir de septembre, où elle m’avait demandé de l’amener voir un strip-teese.
Elle était la seule femme dans la salle et nous nous sommes installés au comptoir.
Comprenant qu’ils avaient certainement affaire à un mari conciliant, plusieurs mecs ont défilé pour lui proposer de venir prendre un verre à leur table, à raison d’un toutes les dix minutes environ. Sandra a eu la délicatesse de refuser poliment à chaque fois, avec un sourire engeoleur. Aucun n’a insisté.
Après le troisième refus, elle a profité du fait que la danseuse en string qui faisait des aller retour juchée sur le comptoir s’etait arrêtée devant elle en se trémoussant pour glisser sa main le long du molet de la fille. La danseuse s’est aussitôt accroupie, genoux ouverts pour offrir la face externe de sa cuisse à Sandra qui l’a caressée fugacement, provoquant un concert de sifflets dans la salle. Je me suis demandé un instant si sa provocation allait lui valoir de se faire harceler pour le reste de la soirée ... pourtant pas un de la trentaine d’hommes présents n’a eu un geste ou un mot déplacé envers elle.
Un peu plus tard, nous sommes descendu vers le sous-sol qui abrite une piste de danse, fermée ce soir là. Comme nous etions seuls, Sandra s’est agenouillée spontanément devant moi pour me prendre en bouche.