par Cocubelge6000 » Mar 21 Nov 2023 13:01
Suite de nos aventures...
Comme la rentrée scolaire se profilait, nous avons avancé notre séjour chez nos amis afin d'être plus à l'aise le dernier week-end d'août.
Nous voici donc le 28 août 2018.
Nous prenons l'avion avec Peter, mon meilleur ami et allons passer trois jours chez Alain et Aurelia, des potes communs.
Aurelia, c'est celle qui a promis à Alice de la déguster...
Dans l'avion, je fais remarquer à Alice qu'Alain est très sympa de nous accueillir, que nous avons de la chance d'aller dans le sud à moindre coût. Pour le remercier, je suggère qu'elle le suce dès notre arrivée.
Il ne se passera rien dans l'avion car notre fille de trois ans nous accompagne également et évidemment, elle demande beaucoup d'attention.
Arrivés chez nos amis, les retrouvailles sont chaleureuses.
On nous fait visiter la grande maison, le grand extérieur avec le terrain de boules, les transats et la piscine.
On apprend à ce moment là également qu'Alice et moi allons partager notre chambre avec Peter.
Alice est un peu décontenancée. Pour ma part, je me dis que c'est râpé pour les baises nocturnes. Mouais...
L'après-midi file entre installation, courses et boules.
Aurelia qui était allée se changer, portait juste un long t-shirt noir. Évidemment quand elle ramassait les boules, elle prenait un malin plaisir à nous montrer ses trous. Alain se marrait à chaque fois en lui faisant remarquer qu'elle était une sacrée salope ! En milieu de partie, elle annonce la couleur :
Le PERDANT me baise ce soir. Au moins, il n'aura pas tout perdu ! Quant à toi ma chère Alice, après notre grillade, nous irons nous doucher et nous habiller. Ensuite, je vais te bouffer la chatte et te goder jusqu'à ce que tu mouilles les draps ! Les mecs n'auront qu'à nous regarder par la fenêtre de la chambre.
Alice ne dit rien, elle sourit. Finalement, elle lâche un "d'accord" sur un air de défi.
J'ai été le grand perdant. Je bandais dur à voir cette chienne de compétition montrer constamment ses orifices et encore plus de savoir que j'allais bientôt pouvoir en profiter !
Durant l'apéro, installés sur les transats, mis à part Alain qui s'agitait aux préparatifs de la grillade, Aurelia écartait sans cesse ses jambes nous offrant une vue de premier choix sur sa chatte dégoulinante. On pouvait distinguer un joli filet, jonction entre ses deux grandes lèvres. Cette chienne se marrait à chaque écartement puis y allait d'un léger gémissement.
Je bandais toujours. Il faut dire que la vue imprenable était pour moi.
Peter semblait de plus en plus gêné par la tension sexuelle. On ne l'entendait pas. Pas un mot, pas une remarque.
Alice me faisait remarquer qu'Aurelia est une chienne affamée. Elle trouvait qu'elle exagérait, que les enfants pouvaient débarquer à tout moment. Pourtant ceux-ci étaient en train de s'éclater dans la salle de jeu. De temps à autre on entendait les rires, ce que je lui ai fais remarquer.
Déclic.
Alice alpague Alain : ta femme va me bouffer la chatte, mon homme va la baiser ensuite. Je compte sur toi pour t'occuper de moi ! Pour te prouver que moi aussi je peux être une bonne salope, je te propose une pipe tout de suite.
Alain acquiesce doublement.
Aurelia fait remarquer à Alice qu'elles sont pareilles... deux salopes.
Alice est amusée, elle s'éloigne déjà avec Alain.
Peter ne lâche toujours pas un mot, il se décompose. Il se demande ce qu'il fait là.
Et moi je bande encore et toujours, trop à l'étroit dans mon bermuda !
Quand Alice fait sa réapparition, elle est en train de se passer les doigts au coin des lèvres.
Elle sourit.
Elle jette un regard non pas de complicité mais plutôt de pure compétition à Aurelia. Elle est chaude. Elle propose une gâterie à Peter qui décline.
Aurelia lui propose la même chose. Peter décline encore.
Alice s'approche de mon oreille en glissant que sa mission est accomplie. Alain a eu tous ses remerciements.
Peter se lève, vide son verre et annonce qu'il va prendre une douche. Dès qu'on distingue le bruit de la douche, Aurelia nous balance son t-shirt et part le rejoindre. C'est complètement nue qu'elle pénètre dans la salle de bain. Alain se demandant où est passée sa femme, nous lui répondons qu'elle est partie rejoindre Peter. Tout ce qu'il dira est qu'Aurelia est une pute. Néanmoins, tout ceci s'est déroulé en a peine deux minutes et finalement Aurelia est ressortie rapidement de la salle d'eau, un peignoir la couvrant. Elle nous annoncera que Peter n'a pas voulu d'elle et qu'il lui a demandé de sortir.
Alice et moi rigolons. Alain, moins. Il lui dira qu'elle n'a dû être super convaincante...
Après le repas, quelques bouteilles de vin vidées et les enfants mis au lit, Alice et Aurelia se sont mises comme prévu en action.
C'est Aurelia qui a lancé les hostilités. Elle a pris Alice par la main et elles ont disparu dans la salle de bain.
Après quelques minutes, elles en sont ressorties.
Alice portait un corset et un mini string qui ne cachait pas grand chose. Aurelia avait opté pour un corset également, un porte-jarretelle et de très jolis bas. Elle était encore la chatte à l'air.
Aurelia a installé Alice sur le lit entourée de jouets divers, elle a ouvert les volets de la chambre et nous a ordonné de sortir de la maison pour nous installer à la fenêtre.
Le temps de faire le tour, Aurelia dansait devant Alice. Elle libéra ses seins qu'elle caressait puis ôta le string d'Alice lui demandant de se toucher.
Alice s'exécuta rapidement. Très vite Aurelia la rejoignit sur le lit. Elles s'embrassaient goulûment.
Alain, Peter et moi spectateurs/voyeurs à la fenêtre, nous assistions à ce spectacle. Chacun se caressait la bite par dessus nos shorts.
Aurelia entreprit de lécher Alice. Elle lapait ses seins puis descendit doucement le long de son corps pour enfin rejoindre sa chatte que l'on voyait déjà complètement mouillée. Alice dégoulinait.
Alain sortit sa queue, il se branlait frénétiquement. Avec son autre main, il filmait sans vergogne la scène et y allait de ses commentaires salaces.
De mon côté, ne tenant plus, je me mettais à me masturber également en prenant soin de ne pas y aller trop fort. Je voulais garder tout mon jus pour cette chienne d'Aurelia. Je voulais inonder son corps de mon foutre.
Peter, jusque là très (trop?) sage, commentait également la scène un grand sourire aux lèvres. Nous n'avions pas remarqué de suite que lui aussi était la bite à la main !
Sous les coups de langue d'Aurelia, Alice gémissait tant et plus. Après quelques minutes, elle demanda à sa lécheuse de la goder. Chose qu'Aurelia lui accorda.
Nul besoin de lubrifiant, le gode entrait et sortait mais malheureusement ce n'était pas du goût d'Alice!
- Plus fort !
- C'est moi décide, c'est moi qui te baise !
- S'il te plaît, plus fort, plus vite, je voudrais jouir. Je n'en peux plus.
A notre grand regret, Aurelia fit la sourde oreille. Je voyais sur le visage de ma belle que ça ne lui convenait pas et elle mit fin rapidement à ce petit jeu saphique remerciant son amante.
- Venez les gars, nous ordonna Aurelia.
C'est la bite à l'air que nous les avons rejointes.
Aurelia se jeta sur moi comme une morte de faim, elle me déshabilla et me poussa sur le lit. Elle goba ma queue dans la foulée sans que je me rende compte de ce qui se passait autour de moi. Reprenant mes esprits, je vis Peter toujours habillé mais se masturbant. Alice s'employait au fond de la pièce à sucer Alain. Celui-ci était en train de la doigter.
Je me mis à dévorer la chatte trempée d'Aurelia lorsque j'entendis Alice demander à Alain de la baiser.
- Baise-moi. Baise-moi fort. Je veux être remplie.
Alain se leva, probablement pour prendre un préservatif et c'est à ce moment là qu'Aurelia lui lança :
- Je t'interdis de la niquer !
- Mais pourquoi ???
- Pcq je te l'interdis, lui répondit-elle entre deux gémissements.
Alice sans doute frustrée de ne pas avoir joui avec son amante et se rendant compte qu'elle ne serait pas non plus baisée par Alain me dit :
- Si elle ne veut pas qu'Alain me prenne, je ne veux pas non plus que tu la baises !
Froid glacial.
Peter avait déjà rangé sa queue.
Alice et Alain étaient déjà partis en direction de la cuisine et s'installèrent à table, nus, avec un verre de vin. Ils furent rejoints dans la foulée par Peter.
Aurelia et moi toujours dans la chambre, continuions nos jeux oraux. Puis, face à l'évidence de la situation, nous nous sommes arrêtés. Après nous être promis de reprendre plus tard (ce qui n'est finalement jamais arrivé jusqu'à ce jour) nous avons rejoint également le reste de la troupe nus comme des vers. Je bandais toujours fort, Aurelia était remplie de mouille coulant le long de ses jambes.
C'est à côté de ma belle que je me suis installé qui me lâcha un "désolée". Elle prit ma queue dans sa main et la massa.
Aurelia n'a pas eu le temps de s'installer. La voyant arriver, Alain l'attrapa par la taille, la tourna, lui mit trois ou quatre claques bien senties sur son cul magnifique. Il la pencha en avant, les mains sur la cuisinière. Il prit sa queue en main et l'enfonça d'un coup en elle. Il fit quelques va-et-vient, l'insulta de salope, lui fit remarquer que de sa faute l'ambiance était plombée tout en la fessant. Son cul était complètement rouge ! Cette chienne l'encourageait à y aller de plus belle.
Nous assistions à cette baise, moi toujours branlé par ma douce qui se caressait également. Peter, lui, se remit à se masser la bite par dessus ses vêtements.
Les choses semblaient repartir du bon pied quand soudain, Alain se retira d'un coup, attrapa Aurelia fermement par les cheveux et lui balança une giclée de foutre au visage.
- Sale pute, tu n'auras rien d'autre ! J'espère que tu seras aussi frustrée que nous. Tu vas t'asseoir sans t'essuyer et tu vas boire ton verre. Moi, je vais me coucher !
Alice, Peter et moi, nous nous sommes regardés, nous demandant sans doute ce qu'il se passait (encore).
Alice se leva de table :
- Je vais me coucher aussi.
Peter vida son verre et lui emboîta le pas. Ils rejoignirent tous deux la chambre voisine de la cuisine.
J'étais attablé comme un con, mon sexe encore dur et avec un mal de couilles bien présent...
Aurelia vint s'installer à côté de moi me montrant fièrement le foutre dégoulinant de son visage sur ses seins.
Nous avons discuté un moment, tout en vidant encore quelques verres, pendant lequel nous nous sommes dit que nous aurions bien voulu nous déguster plus "profondément" et pendant lequel nous nous sommes demandé également si Peter et Alice étaient dans le même lit ou chacun de son côté. Vu le silence, il y avait fort à parier que chacun était à sa place mais amusés, nous avons quand même poussé la porte pour vérification. Et déception, le sage Peter était bien blotti dans son drap, seul dans son petit lit d'appoint.
Nous nous sommes souhaités la bonne nuit, tous deux rejoignant nos compagnons respectifs.
Installé dans le lit auprès de ma belle, frustré et toujours avec mon mal de couilles, j'étudiais les possibilités :
- Réveiller doucement Alice et la baiser en silence pour ne pas réveiller Peter ?
- Me branler doucement pour ne pas les réveiller ? Mais où me lâcher, je n'avais rien à proximité pour m'essuyer et la perspective de dormir avec du foutre sur le corps ne m'enchantait guère...
- Ne rien faire, m'endormir avec toute cette frustration ? L'alcool aidant, cela n'aurait pas dû être compliqué...
Mon salut vint alors d'Alice qui en fait ne dormait que d'un oeil :
- Ca va ? Tu ne dors pas ? murmura-t-elle.
- Non pas encore. J'ai mal aux couilles, je n'arrête pas de bander, je suis frustré, j'ai trop envie !
- Bien tu sais, moi aussi je suis frustrée. Je n'ai pas joui, personne ne m'a baisée finalement. Tu veux me prendre ?
Je lui répondis :
- Ok pour moi mais Peter est là.
Je n'eus pas le temps de terminer ma phrase ! Elle répondit tac-o-tac :
- Je m'en fous ! Baise-moi stp ! Prends-moi et fais-moi jouir ! A peine eut-elle terminé que ma queue était dans sa bouche.
Soulagé à l'idée que j'allais enfin baiser et sans doute absorbé par la pipe prodiguée par ma salope d'Alice, je mis un moment avant de me rendre compte de bruits suspects ne provenant pas de notre couche !
C'était Peter ! On entendait des bruits de frottement accompagné de sons de bite bien mouillée qu'on branlait !
Je le fis remarquer à Alice.
Elle stoppa sa succion et me dit sur un ton enjoué :
- Oui je sais, j'ai entendu mais je m'en fous. Prends-moi maintenant.
Sur ces paroles, je me redressai d'un coup et mit ma salope dans la position qu'elle préfère : à quatre pattes, le cul tourné vers Peter. Je pris soin d'allumer la lampe de chevet et ensuite, je mis ma queue bien au fond de son minou détrempé.
En train de la baiser, je fis :
- Stop les conneries maintenant ! Peter vient ici te faire sucer pendant que je la baise. Je sentis Alice mouiller abondamment. Peter se leva et alluma carrément la lumière de la pièce.
Il vint près de nous la queue en main. Il se mit à caresser les seins d'Alice. Elle voulut lui gober la bite mais il eut un pas de recul :
- Je peux pas faire ça. Tu es mon meilleur ami et il s'agit de ta femme !
On lui fit remarquer que ce n'était pas grave, que c'était désiré mais rien n'y fit. Il se contentait de se palucher tout en lui massant les seins.
Tout à coup, il disparut de la chambre. Sans doute allait-il jouir. Mais en fait, non. On l'entendit avec un volume sonore assez net :
- Venez, ça baise !
Alice et moi nous sommes demandés ce qui lui prenait de crier de la sorte. Nous étions en pleine nuit, il allait réveiller les enfants !
Finalement, quelques secondes plus tard, nous fûmes acteurs face à Aurelia, Alain et Peter.
Les trois se branlaient frénétiquement. Excités par la situation, je baisais Alice de plus en plus fort et elle, elle gémissait de plus en plus fort.
Alice se mit à jouir. Son corps était proche de la convulsion. N'en pouvant plus, je la mis sur le dos et déchargea sur ses nichons. Aurelia se mit à jouir également. Peter en avait fini également. On pouvait distinguer du foutre dans sa main. Alain attrapa à nouveau Aurelia par la chevelure et la fit mettre à genoux. Il se vida avec une deuxième faciale tout en l'insultant de bac à foutre !
Je ne sais pas pourquoi mais nous avons tous fini par rire. Nous avons repris un dernier (!) verre et sommes allés nous coucher.
Le réveil fut (très) difficile ! Entre gueule de bois générale et les cris des enfants bien réveillés eux !